Mosaïques est un recueil de textes inédits et en tous genres : des fables, des poésies originales, des histoires pour enfants, mais aussi des nouvelles inimaginées sur l'intuition, sur le temps qui passe, et l'estime de soi, notamment. Ce sont aussi des récits originaux, et des poèmes étoilés qui permettent d'expliquer de manière imaginative la météo, et les mouvements des planètes. Le tout dans un style innovant et rythmé par des vers à pieds, notamment des alexandrins et des sixains, et parsemé de nombreuses paraboles, de proverbes et d'images jamais parues.
Vingt-quatre nouvelles courtes. Catherine P. Adam invente des situations ou relate des histoires vécues. Soit elle se met dans la peau d'un autre, soit elle est elle- même.
Vingt-quatre récits de vie, d'amour, d'émotions ou de rencontres.
Vingt-quatre récits brefs, visuels et vivants.
«J'étais - je suis - hors d'haleine, bête en course. Qui brise mon élan me blesse, qui l'arrête le mutile, qui me retient l'achève. Qui m'enferme me tue. Je suis animal. Tout est animal en moi, dévoyé.» De l'enfance au coeur de la nature, aux longues errances de la jeunesse, Catherine Poulain, retirée aujourd'hui dans le Médoc, raconte les bêtes, frêles insectes, saumon au ventre ouvert, grands fauves tristes et fauconne borgne. Elle confronte son humanité au silence et à la sauvagerie des animaux, impuissante à les rejoindre, à les accompagner. «J'ai seulement voulu parler d'une petite fauconne borgne et à travers elle, de tous ces oiseaux partis que j'appelais en pleurant, de la vie que l'on ne peut enfermer, de la liberté fragile du sauvage, du mourir sans nom au bord du chemin ou tué par plus puissant, de cette altérité à tout jamais perdue, part animale, enfuie avec les autres.»
«Pour Clarisse, le bonheur n'existait pas dans la durée et la continuité (cela, c'était le mien), mais dans le fragment, sous forme de pépite qui brillait d'un éclat singulier, même si cet éclat précédait la chute.» Ève et Clarisse ne se connaissent pas. À leur insu, un lien mystérieux unit ces deux femmes. La première habite New York, l'autre Paris. L'une s'épanouit entre une vie de famille stable et une modeste carrière de chef. L'autre, ogre de vie, passionnée d'Asie et grande amoureuse, porte en elle une faille qui annonce le désastre. Des années 1980 à nos jours, chacune, face aux aléas du destin, tente de préserver un bonheur impossible à domestiquer.
Depuis septembre 2017, 'Philosophie Magazine' publie chaque mois deux pages de Catherine Meurisse.
Cent pages de dialogues, de citations et de mises en scènes burlesques qui sondent et ébranlent les règles et les codes de la pensée philosophique universelle et l'image du corps.
Socrate, Montaigne, Voltaire, Rousseau, Simone de Beauvoir, Barthes, Tocqueville, Simone Weil, Cioran, Deleuze, ... Ils sont tous là.
Pour appréhender ces philosophes, Catherine propose de suivre les échanges incongrus entre certains d'entre eux et une jeune femme moderne, bien décidée à les déstabiliser, mais aussi des tableaux plus classiques de sujets incontournables.
La légèreté et le rire seront la clé pour réussir l'exercice.
Almah et Wilhelm se rencontrent dans la Vienne brillante des années 1930. Après l'Anschluss, le climat de plus en plus hostile aux juifs les pousse à quitter leur ville natale avant qu'il ne soit trop tard. Perdus sur les routes de l'exil, ils tirent leur force de l'amour qu'ils se portent : puissant, invincible, ou presque. Ils n'ont d'autre choix que de partir en République dominicaine, où le dictateur promet 100 000 visas aux juifs d'Europe. Là, tout est à construire et les colons retroussent leurs manches. Pour bâtir, en plein coeur de la jungle hostile, plus qu'une colonie : une famille, un avenir. Quelque chose qui ressemble à la vie, peut-être au bonheur...
La saga qui nous transporte.
Olivia de Lamberterie - ELLE Une fresque historique haletante.
LiRE Une saga passionnante qui ravive un pan peu connu de l'Histoire.
Version Femina 1er prix du salon du premier roman de Draveil - 2018 ; Prix Wizo - 2019 ; Grand Prix du premier roman de la ville de Mennecy - 2019 ; Prix des médiathèques de Saint-Germain-en-Laye - 2019 ; Prix des lecteurs des médiathèques de Loudéac - 2019
Catherine Meurisse a résidé plusieurs mois à la Villa Kujoyama, une résidence d'artistes située à Kyoto. Cherchant à renouveler son inspiration, elle s'est immergée dans les paysages japonais. Un an plus tard, elle séjournait de nouveau au Japon, quand le typhon Hagibis dévastait une partie du pays. De ces deux voyages, placés sous le signe de la nature, tour à tour muse et dévastatrice, est né l'album La Jeune femme et la mer. « Je voudrais peindre la nature », affirme la dessinatrice française à peine atterrie sur le sol japonais. Mais la nature ne sait pas prendre la pose. Elle se transforme, nous entoure, nous subjugue. Sur son chemin, comme un miroir, un peintre japonais, qui, lui, voudrait « peindre une femme. » Quelle femme ? Nami, la jeune femme de l'auberge thermale où les deux artistes vont séjourner ? Nami, mystérieuse, n'est pas un modèle facile. Elle semble liée aux éléments naturels : elle sait lire l'arrivée d'un typhon dans les plis de la mer. Pour décrypter les signes dans ce décor rural du sud de l'archipel, un tanuki effronté, animal mythologique incontournable de la culture nippone, surgit au gré des déambulations de nos deux amis artistes. Dans une nature magnifiquement retranscrite par un trait de plume précis, où plane l'ombre d'Hokusaï et des maîtres de l'estampe, Catherine Meurisse propose avec "La Jeune femme et la mer" un récit initiatique qui questionne la place de l'Homme dans la nature et le recours à l'art pour saisir les paysages qui disparaissent.
Septembre 1961. Depuis le pont du bateau sur lequel elle a embarqué, Ruth tourne le dos à son île natale, la République dominicaine. En ligne de mire : New York. Elle en est sûre, bientôt elle sera journaliste comme l'était son père, Wilhelm. Très vite, elle devient une véritable New-Yorkaise et vit au rythme du rock, de l'amitié, des amours et des bouleversements du temps : l'assassinat de Kennedy, la marche pour les droits civiques, les frémissements de la contre-culture...
Mais Ruth se cherche. Qui est-elle vraiment ? Dominicaine, née de parents juifs autrichiens ? Américaine d'adoption ? Dans cette période de doute, elle est entourée par trois femmes fortes et inspirantes : sa mère Almah en République dominicaine, sa tante Myriam à New York et sa marraine Svenja en Israël symbolisent son déchirement entre ses racines multiples.
Une fresque historique haletante.
LiRE Un portrait incroyablement juste.
Judy Manuzzi - Page des Libraires
Depuis son retour à Sosúa, en République dominicaine, Ruth se bat aux côtés d'Almah pour les siens et pour la mémoire de sa communauté, alors que les touristes commencent à déferler sur l'île. Passionnée, sa fille Gaya affirme son indépendance et part étudier aux États-Unis, où Arturo et Nathan mènent leurs vies d'artistes.
La tribu Rosenheck-Soteras a fait sienne la maxime de la poétesse Salomé Urena : C'est en continuant à nous battre pour créer le pays dont nous rêvons que nous ferons une patrie de la terre qui est sous nos pieds.
Mais l' Histoire, comme toujours, les rattrape : de l'attentat du World Trade Center au terrible séisme de 2010 en Haïti, en passant par les émeutes en République dominicaine... chacun devra tracer son chemin, malgré les obstacles et la folie du monde.
Après Les Déracinés, et L'Américaine, découvrez la suite de la saga de Catherine Bardon.
Chaque jour, Ruth se félicite d'avoir écouté sa petite voix intérieure : c'est bien en République dominicaine qu'il lui fallait poser ses valises. Chez elle. Il suffit de regarder sa fille Gaya pour en être sûre. À la voir faire ses premiers pas et grandir aux côtés de ses cousines, elle se sent sereine, apaisée. En retrouvant la terre de son enfance, elle retrouve aussi Almah, sa mère. Petit à petit, la vie reprend son cours et Ruth - tout comme Arturo et Nathan - sème les graines de sa nouvelle vie, loin des bouleversements de son époque : Guerre des Six-Jours, assassinat de Martin Luther King, chute de Salvador Allende... Jusqu'au jour où Lizzie, son amie d'enfance, revient à Sosúa dans des conditions douloureuses...
Attention, gros coup de coeur en trois tomes ! De longues heures de lecture instructive avec des personnages passionnants et émouvants.
Flair A lire absolument. Vous ne le lâcherez pas !
Librairie des Grands Chemins, Lisieux
Devenez une déesse ou un dieu de la culture générale !
Par les auteurs de L'Incroyable Histoire de la littérature française Savez-vous que les Grecs ont failli perdre la guerre de Troie à cause d'un soldat qui sentait trop mauvais ? Que Narcisse n'était pas narcissique ? Que Thésée est l'inventeur de la coupe mulet ? Que le supplice de Tantale consistait à mourir de soif au milieu d'une rivière ? Que lors des premiers Jeux olympiques, Héraclès remporta toutes les médailles car personne ne voulut l'affronter ? Cet album raconte de façon burlesque les récits fondateurs de la mythologie grecque. Il ressuscite les héros les plus fameux (Ulysse, Pénélope, les Amazones, Antigone, OEdipe, Achille...), les monstres les plus terrifiants (le Cyclope, Méduse, les Sirènes...), les dieux et déesses les plus puissants (Zeus, Héra, Poséidon, Aphrodite...).
Laissez-vous séduire par le chant des sirènes, promenez-vous dans le dédale mythologique en suivant le fil d'Ariane que vous offre ce livre et votre culture générale aura la musculature d'Hercule !
Après le succès de L'Incroyable Histoire de la littérature (60 000 exemplaires), cette BD est le nouvel album concocté par Catherine Mory et Philippe Bercovici.
Catherine Meurisse a grandi à la campagne, entourée de pierres, d'arbres, et avec un chantier sous les yeux : celui de la ferme que ses parents rénovent, afin d'y habiter en famille. Une grande et vieille maison qui se transforme, des arbres à planter, un jardin à imaginer, la nature à observer : ainsi naît le goût de la création et germent les prémices d'un futur métier : dessinatrice. Avec humour et tendresse, l'auteure raconte le paradis de l'enfance, que la nature, l'art et la littérature, ses alliés de toujours, peuvent aider à conserver autant qu'à dépasser. Les Grands Espaces raconte le lieu d'une enfance et l'imaginaire qui s'y déploie, en toute liberté.
Dessinatrice à Charlie Hebdo depuis plus de dix ans, Catherine Meurisse a vécu le 7 janvier 2015 comme une tragédie personnelle, dans laquelle elle a perdu des amis, des mentors, le goût de dessiner, la légèreté.
Après la violence des faits, une nécessité lui est apparue : s'extirper du chaos et de l'aridité intellectuelle et esthétique qui ont suivi en cherchant leur opposé - la beauté.
Afin de trouver l'apaisement, elle consigne les moments d'émotion vécus après l'attentat sur le chemin de l'océan, du Louvre ou de la Villa Médicis, à Rome, entre autres lieux de renaissance.
Après la mort d'un être cher, on est malheureux, on a du chagrin. La mort, on doit pouvoir en parler. Dire la vérité à un enfant lui permet de faire le deuil, d'exprimer son chagrin et de sentir peu à peu que la vie continue et qu'il a le droit d'être content de vivre.
Mine de rien, quand quelqu'un qu'on aime meurt, ça rassure de savoir que la vie continue et qu'on a le droit d'être heureux.
«Bientôt nous aurons un bébé à la maison. Je me demande bien si c'est un frère ou une soeur. À partir de maintenant tout sera différent, ça me fait tout drôle, mais je crois que ce sera bien».
Les cauchemars sont des monstres affreux qui ne savent plus quoi inventer pour embêter les enfants. Un cauchemar peut ficher la honte, voler les bras des petits et même déclencher des tremblements de terre...Heureusement, il existe tout un tas de manières de se débarasser de ces vilaines bêtes pour enfin dormir sur ses deux oreilles !
" C'est drôle, érudit, dense, scrupuleusement juste et documenté... Jubilatoire. " La Vie.
Savez-vous que :
Hugo faisait tourner les tables ?
Balzac a pensé devenir cultivateur d'ananas ?
Voltaire appelait ses contes des couillonnades ?
Pascal a inventé la première calculette ?
Baudelaire se teignait les cheveux en vert ?
Duras a caché un résistant nommé François Mitterrand ?
Au diable statues vermoulues, perruques poussiéreuses et pourpoints défraîchis : L'Incroyable Histoire de la littérature française raconte, à travers des anecdotes truculentes, la vie et les oeuvres des plus grands auteurs français du XVIe au XXe siècle. Cet album passionnant s'adresse aussi bien aux novices qu'aux férus de littérature. Il transformera à jamais votre vision des écrivains qui, bien que géniaux, restent avant tout... des êtres humains.
Quand une BD s'empare avec humour des classiques et nous présente les génies français dans leur plus simple appareil...
Un livre qui donne envie d'en ouvrir beaucoup d'autres !
Quand on est petit, il faut tout essayer et parfois plusieurs fois pour réussir. Et quand on y arrive enfin on se sent plus fort.
Sur une île méditerranéenne écrasée de soleil et hérissée de montagnes, Efisia est devenue, comme son aïeule, gardienne des grandes nacres, les précieux coquillages fichés dans les profondeurs cristallines. Depuis qu'elle a prêté serment, elle entonne la prière à la mer et plonge inlassablement pour récolter leurs longs filaments qu'on appelle byssus. Puis elle file, tisse et façonne la soie marine, auréolée de mythes.
Rosalia a toujours vu Efisia, sa grand-mère, laver, teinter, sécher et faire danser le byssus entre ses doigts. Dans son atelier, elle a appris les gestes et les légendes. Mais comment continuer de protéger les grandes nacres quand la folie des hommes menace ?
Les émotions sont très fortes, les peurs, la jalousie, les colères, les séparations, les chagrins de toute sorte nous envahissent. Parfois on ne sait pas les dire ou on n'ose pas. C'est alors qu'une visite chez le psy peut nous faire beaucoup de bien.
Pour bien grandir, on accumule des expériences et on découvre pour la première fois beaucoup de choses ! On apprend à jouer aux dames, à faire du vélo, on se fait des amis, on goûte de nouveaux plats... Parfois, l'expérience n'est pas agréable par exemple on peut se faire mal, ça nous apprend à pas recommencer ! Toutes ces premières fois façonneront notre personnalité et notre regard sur le monde, et développeront notre curiosité !
" Catherine Poulain emporte le lecteur dans une histoire singulière et passionnante sur la condition humaine ".
Le Figaro.
Une femme rêve de partir. De prendre le large. À Kodiak, en Alaska, elle trouve une place à bord d'un de ces bateaux qui pêchent la morue noire, le crabe et le flétan. Elle supporte l'humidité permanente, la fatigue, la peur, les blessures... Et puis, il y a les hommes. À terre, elle partage leur vie, en camarade. En attendant de rembarquer. C'est alors qu'elle rencontre le Grand Marin.
Catherine Poulain commence à voyager très jeune. Elle a pêché pendant dix ans en Alaska. Elle vit aujourd'hui entre les Alpes de Haute-Provence et le Médoc, où elle est respectivement bergère et ouvrière viticole. Son second roman, Le Coeur blanc, est également disponible chez Points.