Le Cosmographe
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Les Matous filous sont huit chats d'une incroyable ingéniosité, prêt à tout pour prendre du bon temps ou profiter d'un bon repas au dépend de Maître chien et ses fidèles équipes. Une ingéniosité qui a ses limites car nos chats se retrouvent toujours pris à leur propre piège !
« Les Matous filous et le train à vapeur » est le quatrième opus de la série des Matous filous dont le succès n'est plus à faire au Japon (déjà 12 titres là-bas !!). Ces huit chats accompagnent les écoliers japonais depuis plus de 12 ans, de bêtises en bêtises, de surprises en surprises, d'idée de génie en idée de génie, et une fin toujours surprenante et explosive pour réjouir les enfants.
« Huit matous filous observent avec envie le train à vapeur de Maître Chien... »
Que vont inventer les huit Matous filous pour pouvoir utiliser le train de Maître chien ? Une aventure désopilante qui se termine par un cinéma en plein air ! Vive le pop-corn -
Après « Seul à la maison » et son chat roux qui aime la vie ; après « Entre chats » qui croque les chats pour les tout-petits ; Naoko Machida revient avec un titre tout aussi irrésistible : « Mimi le sumo ». Un chat pas comme les autres, un chat boulanger qui a un rêve... celui de devenir Sumotori !
Un beau mariage fortuit entre la culture française et la culture japonaise, celle du pain et du sumo. Avec cet album encore une fois drolatique, les enfants sont plongés dans la culture traditionnelle japonaise tout en naviguant dans l'univers familier de la boulangerie
Bienvenue à la boulangerie Dosukoï - prononcer dossoukoï - de Mimi : « Dosukoï dosukoï ! Bien le bonjour ! Dosukoï dosukoï ! Au boulot ! »
En fin d'ouvrage, un lexique explicite les termes du sumo dont le mot « Dosukoï », une exclamation utilisée par les lutteurs pour se donner du courage. -
Les Matous filous sont huit chats d'une incroyable ingéniosité, prêt à tout pour prendre du bon temps ou profiter d'un bon repas au dépend de Maître chien et ses fidèles équipes. Une ingéniosité qui a ses limites car nos chats se retrouvent toujours pris à leur propre piège !
« Les Matous filous, à la boulangerie » est le troisième opus de la série des Matous filous dont le succès n'est plus à faire au Japon (déjà 11 titres là-bas !!). Ces huit chats accompagnent les écoliers japonais depuis plus de 12 ans, de bêtises en bêtises, de surprises en surprises, d'idée de génie en idée de génie, et une fin toujours surprenante et explosive pour réjouir les enfants.
« Huit matous filous observent avec envie les petits pains de Maître Chien... Miow ça a l'air bon, miow on veut du pain. »
Que vont inventer les huit Matous filous pour pouvoir gouter le pain de Maître chien ? Une aventure pendant laquelle l'on apprend même à faire... du pain !! -
Les huit chats fripons sont des chats d'une incroyable ingéniosité, prêt à tout pour prendre du bon temps ou profiter d'un bon repas au dépend de Wanwan et ses fidèles équipes.
Une ingéniosité qui a ses limites car nos chats se retrouvent toujours pris à leur propre piège ! Huit chats fripons au restaurant de sushis est le premier titre que nous publions d'une série de dix titres dont le succès n'est plus à faire au Japon. Ces huit chats accompagnent les écoliers japonais depuis plus de 10 ans, de bêtises en bêtises, de surprises en surprises, d'idées de génie en idées de génie, et une fin toujours surprenante et explosive pour réjouir les enfants.
« Quoi, Wanwan a ouvert un restaurant de sushi au bord de la mer ! Nyanya, nous aussi nous voulons profiter de ces bons poissons frais ». Que vont inventer les huit chats fripons pour pouvoir déguster les sushis de Wanwan ? Vont-ils creuser un tunnel sous le restaurant, construire un pont de bois, mettre une grue aimantée ? -
Les matous filous au pays des glaces : Au restaurant de sushi
Noriko Kudoh
- Le Cosmographe
- 1 Mars 2024
- 9782490102495
Les Matous filous sont huit chats d'une incroyable ingéniosité prêt à tout pour prendre du bon temps ou profiter d'un bon repas au dépend de Maître chien et ses fidèles équipes. Une ingéniosité qui a ses limites car nos chats se retrouvent toujours pris à leur propre piège ! «Les Matous filous, Au pays des glaces" est le second titre que nous publions d'une série de dix titres dont le succès n'est plus à faire au Japon. Ces huit chats accompagnent les écoliers japonais depuis plus de 10 ans, de bêtises en bêtises, de surprises en surprises, d'idée de génie en idée de génie, et une fin toujours surprenante et explosive pour réjouir les enfants. «Huit matous filous observent avec envie les glaces de Maître Chien... Miow, ça a l'air bon ! Miaou, on en veut !" Que vont inventer les huit Matous filous pour pouvoir manger les glaces de Maitre chien ? Une aventure en pays glacé...
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Vous êtes-vous déjà demandé ce que votre « amour de chat » peut bien faire quand vous le laissez seul à la maison ? Vous imaginez sans doute qu'il profite de votre absence pour se pelotonner sur le canapé et dormir toute la journée, qu'il en profite pour s'adonner minutieusement à sa toilette, ou bien qu'il trompe l'ennui en chassant les mouches... Détrompez-vous, votre chat a une vie bien à lui que vous ne soupçonnez pas ! Ce livre est le récit de la journée somme toute assez banale d'un chat qui n'attend qu'une seule chose, que ses maîtres s'absentent pour pouvoir - enfin ! - vaquer librement à ses occupations. Vous risquez d'être surpris en découvrant son quotidien !
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La grande dessinatrice de chats japonaise, Naoko Machida, est de retour avec un livre pour les tout-petits. Un imagier qui prend le prétexte du chat pour expliquer la différence aux enfants tout en travaillant le dénombrement, les couleurs, les parties du corps et tout ce qui font les acquis de maternelle ! Quand l'utile rejoint l'agréable - le beau ! - il ne faut pas hésiter à s'en saisir ! A mettre entre toutes les petites mains.
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Princesses dans le vent
Muriel Carminati, Bianca Spatariu
- Le Cosmographe
- Cosmo
- 16 Août 2024
- 9782490102303
Le vent joue les malicieux et emporte deux princesses, l'une à la robe rouge cerise, l'autre à la robe bleu turquoise, dans une épopée extraordinaire à travers des mondes singuliers.
Les princesses curieuses, y font l'expérience de sensations contraires, de la peur et de la joie, de l'amour et de la haine, de l'amitié et de la désaffection, elles expérimentent la beauté des couleurs, l'immensité du ciel et la satisfaction du retour.
Le vent, personnage démiurge de ce conte philosophique pour enfant, est tornade, bourrasque, tempête, brise, courant. Il fait voyager les princesses et leur robe magiques. Avec lui, elles survolent les pays et traversent les frontières.
En tout, ce sont cinq pays qu'elles vont survoler et aider grâce à leurs robes : le pays des pluies, des canicules, des ogres, de noir et du blanc, et le pays des airs. Grâce à leurs robes, les princesses font état d'un altruisme sincère, elles débarrassent les mondes de leur trop plein en les rééquilibrant : au pays des pluies elles font cesser la pluie, tandis qu'aux pays des canicules, elles la suscitent.
Au commencement, ces princesses sont des héroïnes candides dont les actes involontaires sont salvateurs mais, au fur et à mesure de leur périple, elles vont gagner en assurance et trouver en elles-mêmes la volonté de sauver. Jusqu'au déchirement. Car, il en faut un ! Les princesses sont abusées par un séducteur sans scrupules qui les pousse à la discorde et à la chute. Mais le vent veille au grain, il ramènera ses protégées dans leur pays, le pays des princesses.
Une histoire, comme un miroir amplifié des étapes de la vie, qui questionne notre rapport à l'autre, au temps et au bonheur.
On y retrouve le travail délicat à l'aquarelle et à l'encre de chine de Bianca Spatariu, des motifs floraux et la stylisation extrême des choses de la nature. Le doré de la maquette du livre habille les illustrations de Bianca Spatariu et anime les princesses comme dans un petit théâtre d'ombre.
Bon voyage en compagnie des Princesses. -
Le nouveau livre de Naoko Machida à paraître aux éditions Le Cosmographe après "Seul à la maison". Une histoire de chats, à la fois drôle et sensible, servie par un dessin d'un réalisme saisissant. C'est un chat de gouttière, un petit chat tigré avec de grands yeux verts. Il a des traces de griffures sur la truffe et les oreilles rabattues. Il se promène dans le quartier d'un air penaud. A la différence des autres chats qui se prélassent devant la boulangerie, dans la librairie ou sur les étals du marché, ce petit chat semble n'avoir nulle part où aller. C'est qu'il n'a pas de nom ! Et un chat sans nom, c'est juste un chat errant. C'est un chat sans maison auquel personne ne fait attention. Alors il décide de partir en quête de son nom. Mais comment trouver son nom ? Qui va le-lui donner ? C'est alors qu'une petite fille s'approche...
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Murmure des mousses
Karin Serres, Katsumi Komagata
- Le Cosmographe
- Cosmo
- 22 Octobre 2020
- 9782490102082
Une histoire de mousses toutes douces, avec deux niveaux de lecture, servie par un graphisme à la fois simple et poétique pour s'adresser aux tout-petits. Deux histoires à lire ensemble ou séparément pour deux niveaux de lecture adaptés au développement de l'enfant, de sa naissance à ses trois ans. La première, en forme de court poème, joue avec la musicalité des mots. La seconde, plus longue, raconte l'histoire de ces mousses toutes douces qui poussent sur les pierres et deviennent tour à tour sourcils, moustache, chaussure et couverture.
Il fallait tout le génie créatif de Katsumi Komagata pour imaginer un traitement graphique à la fois simple et poétique adapté aux tout-petits.
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Pourquoi les enfants ont-ils peur du noir ? Parce que le noir c'est l'inconnu. C'est tout ce qu'on ne voit pas, qu'on ne sait pas. Ce sont les monstres qui nous guettent. Et si au contraire, le noir était synonyme de réconfort, de plaisirs insoupçonnés, de mystères à découvrir ? Supernoir, c'est cette petite chose que l'on croise tous les jours au coin de la rue sans y prêter attention. Jusqu'au jour où l'on se décide à la suivre.
Grâce à elle, c'est un monde nouveau qui s'offre à nous. Un monde sans couleurs qui pourtant les contient toutes. Un monde tout en noir et blanc où l'obscurité et la lumière se répondent. Un monde que l'on explore avec tous ses sens.
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Une reinterprétation du conte des frères Grimm, « Raiponce » par Paul Geai, l'auteur de « Constellations » brillamment illustré par la jeune et talentueuse illustratrice japonaise, Yukina IEDA. Cela fait plusieurs décennies que le monde a été privé de ses couleurs par une sorcière maléfique. Depuis, la nature et les hommes s'éteignent sans bruit. Jusqu'à ce qu'un beau jour, une femme tombe enceinte. Pour que sa femme puisse mener sa grossesse à terme le mari passe un pacte avec la sorcière : il lui donnera l'enfant et en échange la sorcière apportera chaque jour à la femme des raiponces pour qu'elle ne sombre pas dans la mélancolie. L'enfant, une jeune Raiponce, finit par naître, grandir et s'épanouir dans la château de la sorcière rempli des couleurs du monde. Grâce aux pouvoirs de la chevelure de Raiponce, les fleurs, les arbres, la nature dans le jardin de la sorcière y deviennent exubérants. Pour cacher au monde les pouvoirs de son enfant volé, la sorcière décide de l'enfermer dans une tour en plein désert. Raiponce y passe de nombreuses années dans la solitude jusqu'à l'arrivée d'un vagabond aveugle. Il lui narre ses aventures et elle comprend qu'il est à l'origine des tous les maux du royaume. C'est l'homme qui a volé les couleurs du monde pour la sorcière. Avec l'aide du voleur, Raiponce décide de redonner au monde ce que la sorcière lui a soustrait. A deux, ils capturent la sorcière et l'enferment dans la tour. Grâce aux pouvoirs de sa chevelure, Raiponce rend ses couleurs au monde, la nature reprend ses droits et le royaume retrouve sa gaité. Qu'arrive-t-il quand un seul d'être nous s'accapare les bienfaits de la nature ? Cette réécriture de Raiponce questionne nos liens au monde, aux hommes, à la nature, Raiponce est une héroïne des temps moderne, l'homme et la femme s'associent pour rendre au monde ce qui lui a été dérobées.
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Dans cette relecture contemporaine d'un très vieux conte populaire japonais, une petite fille au tempérament bien trempé se retrouve aux prises avec une bande d'affreux démons. Il lui faudra faire usage de beaucoup de courage et d'une bonne dose de malice pour tromper la vigilance des terribles « yokai » et regagner sa maison au terme d'un périlleux voyage. Comme dans Le Petit chaperon rouge avec lequel ce conte partage beaucoup de similitudes, cette jeune héroïne nippone affronte ses peurs et transgresse les limites de son monde pour parvenir à regagner sa liberté après avoir fait l'expérience de sa propre force. Le livre est magnifiquement illustré par un assemblage de broderies et de tissus chamarrés qui confère à ce conte un aspect pictural digne des tapisseries médiévales et de leurs épopées héroïques.
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Ce livre aurait préféré s'intituler « Si l'alphabet m'était conté » mais l'éditeur trouvait cela saugrenu. C'est vrai que c'est déjà gonflé pour un abécédaire de vouloir raconter une histoire... dont monsieur A est le héros ! Monsieur A est triste. Tout le monde l'a laissé tomB. Il se sent tout caC. Jusqu'au jour où... Comme dans un tour de maJ, Dans un grand fraK, L arriva ! Chacune des 26 lettres de l'alphabet est ainsi mise en scène, à travers un jeu subtil sur le rapport entre le texte et l'image, l'artiste confondant les deux avec jubilation. Les illustrations hautes en couleurs, collages de morceaux de papiers et de tissus chamarrés, redonnent à chaque lettre son caractère majuscule ! Le résultat est un abécédaire vivant et joyeux qui ne manquera pas d'émerveiller petits et grands.
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Hop, c'est parti, petit ours rentre chez lui ! C'est toute une aventure, de douces frayeurs, quelques interrogations et une belle surprise qui l'attend au bout de la route. Une histoire avec laquelle les tout-petits jouent avec humour à se faire peur avant d'arriver dans l'ambiance rassurante et chaude de son chez soi. Yukiko Hiromatsu a écrit un texte tout en douceur qui travaille toute la palette des émotions du tout-petit. En plus d'être élégantes, les illustrations de Tomoko Koyama transforment le livre en flip-book.
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Luna et Solan sont deux intrépides jumeaux qui rêvent d'explorations célestes. Alors, quand une étoile filante leur propose un aller simple pour le cosmo, ils n'hésitent pas une seconde et enfilent leurs tenues de cosmonautes. En route pour l'univers?! Et si en chemin ils croisaient leur grand-mère?? Un album lumineux qui aborde de manière originale et sensible le sujet de la perte d'un être cher. En se plaçant à hauteur d'enfants, la question du deuil est abordée avec un ton léger, non dénué d'humour. Le thème de l'absence est ainsi distillé à travers le récit dont il constitue l'élément déclencheur, amenant nos deux héros à s'aventurer aux confins de l'univers?! Le traitement graphique adopte la technique de la ligne claire, inspirée de la bande dessinée, pour composer des illustrations à la fois simples et réalistes, tout en offrant de magnifiques vues d'artistes sur le cosmos.
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Ce livre, qui s'intitule "Les corps paysage" a été conçu comme une promenade sur et ayant pour prétexte le corps humain. Il est fait pour un lectorat à partir de 3 ans et peut tout à fait être travaillé en maternelle où l'apprentissage du corps fait partie des fondamentaux. La construction du livre est très précise quasi chirurgicale mais sa lecture reste un voyage plein de surprises ! 16 doubles pages huit prénoms, huit parties du corps et huit images : -Les yeux / des bouquets -Les doigts / l'envol -L'oreille / le labyrinthe -La bouche / la caverne -Le front / l'oasis -Les pieds / la tempête -Les bras / l'étincelle -Les jambes / la colline Et tout autant de sens qui sont sollicités et sous-tendu, l'odorat, l'ouïe, la vue, le toucher, le goût.
L'action comme le repos, le rêve et la pensée. Ces associations d'idées entre les parties du corps et ces images sont toutes autant de prétextes pour l'enfant à utiliser, à imaginer, à nommer, à mimer les parties de son corps et les images attenantes. Aussi l'enfant pourra jouer à mimer. L'enfant pourra écouter et s'imprégner du rythme poétique du livre. Et en dernier lieu, l'enfant pourra apprendre à lire les images et les formes car la forme de chacune des parties du corps est ensuite réutilisée pour composer l'image.
Les 4 dernières double-pages en apothéose : tous ces enfants nommés séparément se retrouvent ensuite pour jouer ensemble. Puis, ils se perdent et se dissolvent dans la nature. L'enfant-lecteur est alors sollicité une dernière fois pour retrouver ces compagnons de livre.
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En mer est un voyage sur les eaux de l'océan.
Le voyage de pirates qui recherchent inlassablement le trésor. Et un voyage à travers la vie, une métaphore maritime de ce qui nous attend au détour de chaque instant. Le texte de Riccardo Bozzi convient tout aussi bien aux très jeunes qu'aux plus âgées car à chaque âge il apporte de nouvelles réponses et soulève de nouveaux questionnements. Il peut être lu pour ce qu'il est, le récit d'un voyage en mer, ou interprété.
Toute sa force tient dans l'apparente simplicité du récit qui est en fait une poétique de la vie. Les illustrations d'Emiliano Ponzi aux lignes épurées mais aux couleurs intenses sont elles aussi des voyages, il nous entraine dans l'immensité de la mer, à l'aventure ! Un livre à rabats qui se lit puis se découvre comme autant de trésors de pirates.
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Un livre tout carton qui questionne les tout-petits sur leur rapport à l'autre et à la nature.
L'enfant entre dans le livre en découvrant des pages qui se remplissent peu à peu de papillons à toucher.
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Un livre, une plante. Une histoire et des activités pour reconnaître et nommer la nature. Un petit titi qui ne se pique pas aux orties ! Une histoire de fiction autour de l'ortie sous la forme d'un poème rythmé, en filigrane des informations botaniques sur la plante, des illustrations très colorées en aplat réalisées avec la technique du papier découpé et un cahier d'activités qui contient des informations techniques sur la plante (nom, localisation, anecdotes et usages), les explications sur la cueillette de l'ortie, la recette de la soupe d'orties, une image réelle de la plante pour que l'enfant apprenne à la reconnaitre et à la retrouver dans la nature, une page blanche pour réaliser son herbier.
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Un livre, une plante. Une histoire et des activités pour reconnaître et nommer la nature.
Le pissenlit s'ennuie, mais sait-il qu'il est un génie ? Flore est une collection de petits ouvrages ludiques et fictionnels sur une plante d'ici ou d'ailleurs avec une histoire et deux activite´s. Une histoire de fiction autour du Pissenlit sous la forme d'un poème qui reprend en filigrane des informations botaniques sur la plante, de fines illustrations à l'aquarelle par une jeune illustratrice roumaine et un cahier d'activité qui contient : des informations techniques sur la plante (nom, localisation, anecdotes et usages), la recette du sirop de pissenlit, une image réelle de la plante pour que l'enfant apprenne à la reconnaitre et à la retrouver dans la nature, une page blanche pour réaliser son herbier.
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Le rêve de Sancho Cactus
Isabelle Grand, Florence Voegele
- Le Cosmographe
- Flore
- 9 Novembre 2018
- 9782490102037
Sancho Cactus a peur noir, pour ne plus jamais avoir peur, il décide d'aller chercher des étoiles. Accompagné par Don Cactus, le roi des cactus, il part à la rencontres des êtres qui peuplent le désert d'Atacama : un lézard, un chingolo, un lama et un indien Kunza. L'indien Kunza lui apprendra alors que chacun porte sa propre étoile et que pour la trouver, il faut aller la chercher au fond de soi-même. Sancho finira par découvrir ses étoiles et vaincre sa peur du noir. Une histoire pour découvrir le Mamillaria hahniana, un cactus laineux et rond qui fleurit en couronne. Des activités : astuces de jardinier pour bien s'occuper de ses cactus, réaliser un petit jardin de cactus, une image du cactus.
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Venez assister au plus grand match de bogue de tous les temps ! Deux champions, Châtaigne et Marron, s'affrontent sur le ring... Une histoire pour apprendre à différencier ces deux fruits. Par la suite, un petit documentaire autour de la châtaigne, fruit du châtaignier commun, le Castanea sativa, une recette de marrons grillés et un tableau de feuilles d'automne.
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Un chameau par la poste
Elena Diaconu, Lénaïc Constanti
- Le Cosmographe
- 29 Septembre 2017
- 9782490102006
Pour son anniversaire, Ama ne veut qu'une chose : un chameau comme sur la carte postale que son papa lui a envoyée du pays plein de sable ou` il est parti travailler. Mais le colis qui est arrivé´ ce matin est tout riquiqui...
C'était sans compter sur les pouvoirs de Monsieur Chameau. Musique, pâtisserie, cachecache et saute-chameau, c'est parti pour une folle journée d'anniversaire ! Une histoire du soir pleine de fantaisie sur l'absence, l'altérité et le pouvoir de l'imagination aux couleurs douces et acidulées.