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Nieves
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La série de fleurs peintes à la gouache sur papier de Louise Bourgeois.
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Depuis toujours Ronan Bouroullec dessine quotidiennement. Une pratique artistique pure qu'il juge autonome du métier pour lequel il est internationalement reconnu. Mais s'il existe une porosité entre ces deux faces de son activité qui se nourrissent l'une l'autre, Ronan Bouroullec considère le dessin comme indispensable à son équilibre. L'ouvrage Fièvre accompagne l'exposition « Dessins quotidiens », l'Hôtel des Arts TPM à Toulon. Avec près de 300 oeuvres (dessins, bas-reliefs et carnets) présentées, il révèle une petite part, encore peu connue, de son talent créatif. Une part infime au regard des milliers de dessins qu'il conserve tous, mais suffisamment riche pour éclairer cette facette très intime de la personnalité de l'un des designers français les plus talentueux de sa génération.
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Vivant et travaillant ensemble dans le contecte de la contre-culture torontoise de la fin des années 1960, AA Bronson, Felix Partz et Jorge Zontal ont officialisé leur collaboration en 1969 sous le nom de General Idea. De leurs premiers projets, comme la mise en scène du concours de Miss General Idea en 1970, à leurs initiatives militantes autour de la crise du sida, General Idea a exploré le travail multimédia, conceptuel et performatif comme outil pour s'engager dans la culture commune et ses répressions.
Les dessins du groupe, dont la grande majorité n'a jamais été vue, sont moins connus. Les dessins présentés dans A Rare Gift of the Tropics ont tous été produits par Jorge Zontal, lors des réunions de brainstorming du groupe ; cependant, étant donné le principe de la co-signature régissant les activités de General Idea (et comme le démontre la signature « GI » apposée par Zontal peu avant sa mort), ainsi que les circonstances dans lesquelles ils ont été exécutés, ils sont considérés comme étant collaboratifs. Les dessins deviennent plus réguliers à partir de 1985, année où le groupe quitte Toronto, qui se sent de plus en plus isolé du monde de l'art, pour New York. Au fil des années 1980, la joie de vivre initiale est assombrie par l'omniprésence du sida. Bien que réalisée à la main, la répétition de motifs spécifiques suit une logique qui renvoie au penchant de General Idea pour la reproduction de masse et qui fait écho à la viralité de leurs oeuvres sur le sida. Dans leur mutabilité et leur flux continu, les dessins sont une fenêtre fascinante sur la vision artistique de General Idea et sur leur approche singgulière de la notion de paternité, exposant l'inadéquation de la représentation tout en reconnaissant son urgence. -
Les dessins quotidiens de Ronan Bouroullec.
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Une sélection d'oeuvres sur papier d'Emma Kunz.
Publié à l'occasion de l'exposition « Cosmos Emma Kunz » à la Aargauer Kunsthaus en 2021.
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Deux séries de dessins brutaux et crus de Miriam Cahn.
Dès les années 1970, Miriam Cahn (née en 1949 à Bâle) dessine à même le sol, surtout à la craie noire, sur des feuilles de papier grand format ou même dans l'espace public. Avec son trait énergique, elle crée des figures humaines saisissantes, d'une troublante intensité où la femme déploie son corps dans toute son expressivité. Elle dessine aussi des architectures menaçantes ainsi que des navires de guerre, qui font échos aux folies constructives et destructrices de l'homme. Rebelle et activiste, elle défend une forme de féminisme dans sa pratique artistique. Plus tard, elle expérimente la peinture à l'huile et les couleurs vives, notamment avec ses séries de champignons nucléaires, de magnifiques coulées de couleurs qui font presque oublier les effets destructeurs des bombes. Une part importante de son oeuvre est toujours constituée de « portraits » d'humains, d'animaux ou de végétaux, souvent frontaux, qui vibrent d'une présence énigmatique. Dès les années 1990, son travail se réfère parfois à des sujets politiques, comme les conflits en ex-Yougoslavie, au Moyen Orient, ou les attentats du 11 septembre 2001. -
Livre d'artiste composé de dessins réalisés en 2013.
Publié à l'occasion de l'exposition éponyme à la Galerie für Zeitgenössische Kunst Leipzig en 2019.
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Une série de natures mortes et de scènes d'intérieur de l'artiste suisse.
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Les dessins poétiques du mont Horeb de l'artiste amérindien autodidacte Joseph E. Yoakum.
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Densité du feuillage, ramification de l'arbre, structure de l'écorce : ce livre est entièrement consacré à la verdure organique et sauvage, principalement en noir et blanc, mais des motifs émergent, les feuilles deviennent frénétiques et les fourrés grimaçants nous sourient. Le volume est délibérément imposant et il est impossible d'en avoir une vue d'ensemble. Cet épais livre de poche constitue une herbier indomptable, débordant et tentaculaire.
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Une sélection de camions - autobus, dépanneuses, camions de démolition et de marchandises - dessinés au stylo-bille couleur et au crayon par le légendaire Wesley Willis. Compilée à partir de différents cahiers, cette série permet de mettre en valeur un motif essentiel, et quasiment obsessionnel, dans l'oeuvre visuelle du Chicagoan.
Wesley Willis (Chicago, 1963 - 2003), figure totalement atypique du rock alternatif, est un artiste et musicien culte, vénéré par la scène punk-rock américaine (Henry Rollins ou Jello Biafra, le chanteur des Dead Kennedys qui publiera plusieurs de ses disques sur son label Alternative Tentacles, mais aussi Pearl Jam ou Smashing Pumpkins, comptent parmi ses fans de la première heure). Il a enregistré une cinquantaine d'albums au cours d'une brève carrière débutée en chantant dans la rue accompagné de son clavier Technics KN2000.
Ses chansons se caractérisent par des textes souvent hilarants et un structure rudimentaire ; il est moins connu pour ses dessins réalisés avec des stylos de couleur, représentant un univers urbain avec un sens de la perspective étonnant.
Diagnostiqué schizophrène, il considérait la musique et le dessin d'un point de vue thérapeutique. Il est devenu un véritable phénomène sur internet à l'époque des premiers échanges peer-to-peer.
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Une série de dessins réalisés in situ dans les rues parisiennes au stylo-feutre dans de petits carnets, comme une méditation sur les différentes perceptions possibles de l'espace urbain, et de ses aberrations.
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Garbage Man pourrait faire référence à Tal R lui-même en tant que collectionneur maniaque de ce que d'autres personnes qualifieraient de déchets. La collecte et l'agencement d'images font partie intégrante de sa pratique artistique et découlent d'une nécessité intérieure. Le mot yiddish kolbojnik (déchets, restes) traverse également le travail de l'artiste dans le titre de plusieurs de ses oeuvres. Sa collection, que l'on retrouve dans les différents collages, consiste en un mélange éclectique d'« art tribal primitif », de chefs-d'oeuvre de l'histoire de l'art, de pornos, de bandes dessinées, de photos privées, d'images d'enfance, de croquis et de livres d'images, et a été rassemblée par Tal R sur une période de 25 ans. Ces pièces, qui servent de modèles à l'artiste pour ses peintures et sculptures, évoquent, dans leurs associations d'éléments pseudo-encyclopédiques, l'Atlas mnémosyne d'Aby Warburg ou encore l'Atlas de Gerhard Richter.
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Les dessins de Nigel Peake pour la distillerie japonaise Mitosaya.
« Mitosaya est une distillerie fondée par Hiroshi Eguchi, située dans la préfecture de Chiba, à quelques heures de Tokyo. C'était autrefois un jardin botanique. Je l'ai visité deux fois, les deux fois à la fin de l'automne. Chaque visite à Mitosaya était comme une immersion dans un petit monde nouveau, un monde qu'Hiroshi et sa famille ont façonné. Les dessins présentés dans ces deux minces volumes ont été réalisés pour servir d'étiquettes à la brasserie Mitosaya cette année. ».
Nigel Peake.
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Une série de « Bad Paintings » de l'artiste genevois emblématique du genre.
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Une série de peintures évoquant le surf de grosses vagues, transformant l'élément humain en une ponctuation visuelle sur l'immense toile de fond aquatique.
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Cet ouvrage a pour origine un livre de mobilier Adirondack offert à Philippe Weisbecker par une amie new-yorkaise qui travaillait dans une quincaillerie. Vingt ans plus tard, il en fera la base de ce livre.
« J'ai toujours aimé les meubles rustiques, fabriqués à partir de souches, de branches ou de morceaux de bois. Au départ je voulais reproduire fidèlement les meubles figurant dans le livre. Très vite, je me suis aperçu que j'étais surtout intéressé par le squelette de ces meubles, leur structures et les vecteurs de force qui les régissent. Petit à petit, j'en suis même venu à me libérer de ces paramètres pour en arriver à des compositions structurelles plus simples, à mi-chemin entre figuration et abstraction. » Philippe Weisbecker Publié à l'occasion de l'exposition « Élémentaire » au Studio Fotokino, Marseille, du 9 décembre 2017 au 28 janvier 2018.
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Une série de peintures aux couleurs vives, représentant des paysages fictifs.
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Les dessins-collages d'Aurel Schmidt de la série des « poupées », incorporant objets trouvés et détritus divers, mouches, préservatifs, mégots, fluides corporels, etc., reflets de la vie new-yorkaise de l'artiste, constituant une sorte de memento mori contemporain.
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Max, Maria, Andi & Co. ; a giant circular painting
Stefan Marx
- Nieves
- 21 Décembre 2020
- 9783907179246
Une série de dessins revisitant l'histoire, les paysages et l'imaginaire du Tyrol en Autriche (leporello).
Publié à l'occasion de l'exposition éponyme au Musée régional tyrolien Ferdinandeum, Innsbruck, de 2020 à 2023.
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Une sélection de dessins récents de Ronan Bouroullec.
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Une sélection de dessins au stylo-bille de Ronan Bouroullec.
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Une série de nouvelles peintures à l'huile semi-abstraites de l'artiste américain.
Dans cette série, la pratique de l'artiste se révèle dans ce qu'elle a peut-être de plus pictural ; les thèmes et motifs familiers demeurent, mais l'échelle, la couleur et le tracé témoignent d'une volonté de pousser son art dans des directions complexes et inexplorées.
Tantôt étroitement contrôlées, tantôt de forme libre, les oeuvres transcendent le style, McHargue cherchant à créer quelque chose qui soit non seulement visuellement attrayant et qui reflète l'air du temps, mais qui en même temps s'en échappe complètement, comme seule la peinture peut le faire.
Au cours des deux dernières décennies, Keegan McHargue s'est intéressé à la tension entre la tragédie et la comédie à l'oeuvre dans la vie quotidienne, tout en laissant son oeuvre développer sa propre narration unique. Les peintures à l'huile semi-abstraites de McHargue mêlent des figures et des motifs identifiables à des objets issus de l'imagination de l'artiste.
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Berlin Drawings 2 est publié trois ans après le premier volume, on pourrait dire que les deux volumes couvrent le Berlin pré- et post-pandémique. Les dessins à petite échelle ont été réalisés dans différentes situations : dans les transports publics, dans la nature, à l'aéroport TXL, en se promenant dans différents quartiers ou tout simplement à la maison. Sur 300 pages, Stefan Marx partage ses impressions, ses pensées et ses observations de l'espace qui l'entoure, en dessinant des visages, des typographies, des animaux, des rêveries et des citations de Berlin.
