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Solo Ma Non Troppo
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"Au creux des fleurs" est une histoire, un récit autour des images d'archives de l'artiste, qu'elles soient intimes, anonymes, sociales, politiques ou qu'elles appartiennent à une forme de culture commune. Une invitation à découvrir les rapports affectifs, émotionnels qu'il entretient avec ces images, témoins de ses errances et de ses voyages invisibles.
En se les réappropriant sous forme de gouache ou de dessins crayonnés et en les confrontant aux images sources, Tom rend compte d'une mise en abyme des désirs qu'elles provoquent et du flux sentimental qui l'unit à elles. Il tente de faire exister l'espace qui pourrait se glisser entre les deux, un lien qui tisserait une forme de géographie de nos espaces imaginaires. -
Gianpaolo Pagni aime conserver, classer et ranger. Ici il a extrait de ses archives ses cahiers de mathématiques de l'époque où il était collégien à Turin. Et plus de 40 ans après, il se décide à réviser ses cours dans son atelier, cette fois non pas en écrivant des chiffres et des équations mais en recouvrant ces pages à coups de tampons, conçus et dessinés par lui. Désormais sur ces pages cohabitent deux vies : celle d'un adolescent faisant des exercices de façon appliquée et celle d'un artiste plasticien finalement intéressé par les formes géométriques, les couleurs et les signes.
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Le rituel de l'artiste consiste chaque matin à s'installer au bistrot et entamer une double page de son journal intime : tirant un fil narratif qui fait se télescoper rêves de la nuit, humour et humeurs, écrivant, raturant, dessinant, collant, tamponnant, interpellant à l'aide de gros titres, en-têtes et autres chapeaux, puis de colonnes serrées pour tout faire tenir sur la page. D'autres fois ce sont des motifs intrigants ou de grands dessins qui s'épanouissent en pleine page, dans lesquels s'insinuent des rubans de mots.
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"Le rituel de l'artiste consiste chaque matin à s'installer au bistrot et entamer une double page vierge de son journal intime : tirant un fil narratif qui fait se télescoper rêves de la nuit, humour et humeurs, écrivant, raturant, dessinant, collant, tamponnant, interpellant et questionnant à l'aide de gros titres, en-têtes et autres chapeaux, puis de colonnes serrées pour tout faire tenir sur la page.
""Enfant sauvage"" est le titre du journal d'Elsa Daynac, corpus comprenant plusieurs grands cahiers, entamé depuis quelques années : cette publication donne à voir telles quelles les meilleures pages de ces derniers."
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Journal intime de l?été 2020, dessiné entre montagnes et lacs : instants, sensations et sentiments captés à la gouache et au crayon. "Je marche vite, je dépasse tout le monde, personne devant, personne derrière, juste le ciel, le chemin, les lacs, la me ret des formes, des couleurs que mon nerf optique semble avoir beaucoup de peine à reconnaître. Je veux me retrouver seul, je ne perds pas de vue l?horizon, mais c?est quoi l?horizon quand tout nous laisse à vif, un voyage qui s?est égaré dans notre tête pour disparaître dans nos failles.»
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Journal intime dessiné durant l'été 2016 autour de Montréal, instants captés à la gouache, aux crayons de couleurs, à l'acrylique.
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Depuis presque 40 ans l'artiste néerlandais travaille sur une série de dessins (environ 300 à ce jour) qui sont autant d'interprétations des oeuvres d'art qui l'ont fortement impressionné.
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Le Bestiaire de Bestioles est un carnet d'insectes à colorier - ou pas. Une sorte de cabinet de curiosités entomologiques.
Un imagier d'espèces menacées, sur lesquelles repose une biodiversité fragile qui tend à disparaitre, une ode à cette faune exceptionnelle qui chaque jour lutte pour survivre.
Aude Villerouge s'inspire des styles Art Nouveau et Art Déco.
Grâce à l'utilisation de l'encre de Chine et la technique du "dotwork" qui consiste à créer ombre et lumière en dessinant une multitude de points les uns à côté des autres, ses dessins évoquent également l'esthétique du tatouage.
Prenant ainsi l'aspect d'un bijou mystique, d'une amulette magique, d'un grigri électronique ou d'un jouet mécanique, chaque insecte forme avec ses congénères une collection rimant avec superstition et invention.
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Le dessin à la main d'Olivier Garraud s'inscrit à rebours de l'utopie progressiste relayée par des technologies qui se renouvellent sans cesse et de plus en plus vite, jusqu'à l'obsolescence. Armé de cet outil fragile, il façonne son atlas personnel.
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32 poèmes anglophones que Paul van der Eerden chérit et connaît par coeur, écrits à la main et illustrés par lui. Le titre du livre provient d'un poème de William Blake.
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La broderie est un savoir-faire qui a été transmis à Anaïs Beaulieu par sa grand-mère. Elle-même l'avait appris de sa mère qui l'avait appris de sa mère. Il s'agit ici d'une broderie illustrative. Elle s'ancre dans une confrontation du sujet, de la technique et du support.
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Comme toujours dans leur oeuvre collective les dessins reproduits ici font apparaitre des univers foisonnants et décalés, inspirés par les contradictions, les excès et les merveilles du monde d'aujourd'hui.
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Qui se couche avec les chiens, se lève avec les puces
Tereza Lochmannova
- Solo Ma Non Troppo
- Chipiron
- 10 Novembre 2016
- 9782919289363
"Pendant 2 ans (2015-2016) le vieux cahier ligné de mon père a servi de support et de réceptacle à mes délires presque quotidiens, ceux d'une "paria" volontairement exilée à Paris. Incapables de se défaire de moi, ils s'y sont néanmoins stockés, jusqu'à faire de ce cahier le dépositaire de "ce qui ne rentre plus dans ma tête".
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Some Body fait suite à No Body, édité en 2013 par Solo ma non troppo (épuisé). Il reproduit 138 dessins, composés avec de nouveaux tampons créés par l'artiste, et réalisés durant l'été 2014.
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Tandis que son travail sur papier fait la démonstration de la variété sans limite du dessin à l'encre, sa technique virtuose nous promène avec un plaisir sans cesse renouvelé d'un paysage onirique à une scène empruntée à l'histoire de l'art, d'une image sortie tout droit d'un cartoon à la vie quotidienne.
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Entre impressionnisme et imagerie « thermique », des scènes vite disparues mais dont la vision persiste : gestuelles du quotidien, du monde de l'entreprise ou du théâtre, vie représentée ou vie réelle, jaillissements, sensations, paysages (é)mouvants.
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Une suite d'images qui arrivent par recouvrement, découpage, assemblage-démontage, effacement, changement de décor. Déjouant la comptine attendue. La forme peut être issue d'une mauvaise idée, mais se réalise malgré tout, malgré elle, dans le rejet. Une forme qui aurait un pied dans le design et un autre dans l'onirique.
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Présentation de trois séries de dessins-poèmes, résultant d'un protocole en plusieurs étapes. D'abord, l'auteur collecte quotidiennement des solutions de mots croisés, à partir desquelles il écrit des poèmes. Puis, il récupère des cahiers d'écolier dont il prélève plusieurs pages. Il assemble enfin ces matériaux par des dessins et des collages qui cristallisent l'ensemble de ses gestes.
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À partir d'un ensemble de dessins brodés commencé en 2013, et leurs prises de vues minutieuses par le photographe Martial Verdier, l'artiste a composé une oeuvre tout exprès pour cette nouvelle publication : un déploiement de scènes fantaisistes, truculentes, violentes et tendres qui se coltinent notre réalité socio-économique, et quelques clins d'oeil à son récent livre « dessins pour rugir ».
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Les dessins présents dans ce volume ont été entièrement réalisés au tampon sur papier de soie 42 x 29,7 cm. Cette pratique spécifique s'inscrit dans une notion plus générale et fondatrice du travail de l'artiste autour de la question d'empreinte et du souvenir.