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Théâtre
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Si le théâtre s'étudie à l'école, quelle meilleure école que le théâtre dans une des plus grandes pièces du répertoire. Le théâtre se vit plus qu'il ne se lit. Le Cid, une « tragi-comédie » où douze personnages s'affrontent sur les thèmes de l'héroïsme, de la morale et de l'honneur. Du brillant et de l'esprit, de réplique en réplique. De la tension dans les sentiments, de la verve, de la musique grâce à un alexandrin si bien sculpté que chaque vers est un joyau, une vitrine de notre langue française. Mise en scène : Alain Carré (Film DVD - Réf. AST009)
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" La mémoire a conservé peu de choses de ce spectacle, sinon la certitude de quelque chose de capital, quelque chose qu'on se doit de dire, et qui là est dit, une fois pour toutes, mieux que jamais, et si raidement, si purement, qu'on en tremble, qu'on en a la parole coupée, et qu'on sort le coeur blessé et pansé, baigné d'une effluve de larmes. " Hervé Guibert Cet enregistrement de Café Müller a été réalisé en 1985 avec Pina Bausch qui en outre a supervisé toute la production du film. Un document historique.
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Du régal pour les vautours
Claude Régy
- Solitaires Intempestifs
- Livres-dvd
- 25 Août 2016
- 9782846814751
La lumière et le silence sont aussi des matériaux dont on ne se lasse pas. Enfin, moi, je ne m'en lasse pas. Je ne me lasse pas d'écouter le silence et je ne me lasse pas des jeux de lumières.
Je pense que travailler c'est quelquefois ne rien faire.
C'est quelquefois regarder la lumière du jour ou regarder la lumière quand le jour baisse ou au moment du lever du jour ou, au contraire, dans un moment très étale de la matinée ou de l'après-midi.
Se laisser faire par toutes ces choses qui s'impriment en nous.
On croit qu'on ne travaille pas mais « ça » travaille pendant tout ce temps, ça travaille en nous.
Inclus dans ce volume un film d'Alexandre Barry, Du régal pour les vautours, qui nous entraîne dans une dérive au coeur du travail, de la vie de Claude Régy. Les yeux ouverts dans la nuit, des visions surgissent. Lieux, visages, souvenirs et réminiscences remontent à la surface comme des fragments de miroirs superposés. À Paris, au Japon, en Corée, en Norvège, Claude Régy partage les lueurs entrevues lors de son long voyage. Une aventure en zones inexplorées commencée il y a plus de soixante ans.
Du régal pour les vautours, un film d'Alexandre Barry produit par Michel David.
Durée : 67 min. - 16/9 stéréo - version française / sous-titres anglais © Zeugma Films 2016 En bonus : Ne vous inquiétez pas il va faire nuit, un film d'Alexandre Barry.
Durée 8 min. - 16/9 stéréo - versions française / sous-titres anglais © Simer / JKL 2016 Du Régal pour les vautours sera projeté en avant-première au Forum des Images le 03 octobre 2016 et au théâtre Nanterre-Amandiers le 08 octobre 2016, dans le cadre du Festival d'Automne de Paris 2016, avant une rencontre avec le réalisateur Alexandre Barry et Claude Régy.
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Voici une petite sensation: le premier DVD d'une pièce de Pina Bausch.
Kontakthof,pièce "mythique", a été, en 2001, mise en scène avec des dames et des messieurs ayant un certain âge, ni acteurs ni danseurs, mais disposant d'un trésor d'expériences.
Deux plans interfèrent pendant toute la pièce: les relations entre hommes et femmes, et la nécessité de se montrer à un public. Le Kontakthof ("cour de contact") est l'endroit où les prostituées attendent leurs clients. Le théâtre est la forme sublimée d'un processus similaire.
La scène consiste en un espace surélévé, gris, style 1900, érigé en salle de danse avec une estrade et un piano, comme une scène sur la scène. Rolf Borzik, le créateur de la scénographie et des costumes, a réalisé ici l'une de ses grandes oeuvres, typiques d'une série de spectacles qui ont fondé la renommée mondiale de la troupe.
L'aspect "Variétés" de la pièce est souligné dans la musique: les chansons des années 20 et 30, avec leur mélodie nostalgique, sur la brèche entre joie et désespoir, emporte danseurs et spectateurs comme en un souffle.
Lors de la première, en 1978, la pièce fut bien sûr interprétée par les danseuses et danseurs de la troupe de Pina Bausch. Mais le désir de la chorégraphe de voir un jour la pièce interprétée par des danseurs plus âgés était déjà là.
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Walzer - « valse » en français - quel titre envoûtant ! Et à première vue, on se sent à l'aise chez Pina Bausch.
On dort, on rêve, jusqu'à ce que quelqu'un s'éveille, heureusement assez tôt, pour éteindre un feu qui couve. Peu importe, la fête continue. Bien que les invités soient un peu bizarres. Ils bougent comme s'ils étaient inconscients et pourtant sûrs d'eux comme des noctambules. Ils portent une charge : le fardeau de leur vie.
Le moment arrive où la première commence à parler, Mechthild Grossmann, par terre et un verre de vin à la main. Mais il y a d'autres femmes, surtout des femmes. Les solos inoubliables de Meryl Tankard, Jo Ann Endicott ou encore Nazareth Panadero. Ça, c'est la grande Pina Bausch qui dans les années 1970 et 1980 réunissait autour d'elle une bande de danseurs révolutionnaires. Inoubliable, inégalable. Où chaque danseur et chaque danseuse fut un interprète hors pair et un personnage, qui pouvait remplir sans peine toute une scène vide.
Walzer est un film de 55 minutes issu d'une pièce qui dure plus de trois heures et dont la première a eu lieu en 1982 au Théâtre Carré d'Amsterdam. L'extrait a été choisi par Pina Bausch et c'est encore elle qui a supervisé l'enregistrement et le montage.
S'il existe un moyen de conserver l'esprit d'un spectacle vivant, on peut le contempler ici.
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Le titre du film paraît biblique, un peu provocant. Une femme, des femmes, un homme, des hommes. Qui ne sont peut-être qu'un et se manifestant sous plusieurs apparences. Des enfants aussi et, bien sûr, des passions. La danse en fait partie. Autant de marques pour jalonner le parcours. Justement, un parcours peu habituel à l'intérieur de la ville et dans les paysages autour de Wuppertal, où la chorégraphe habita et travailla pendant presque quarante ans.
Un portrait ne raconte pas une histoire. On peut seulement deviner la biographie de celui ou de celle qui est portraituré. Même quand il s'étale dans le temps - ce qui est ici le cas - une histoire se dégage à peine. Au lieu de cela le film creuse dans la profondeur des sensations, des atmosphères jamais vues et entendues.
C'est aussi un film sur les saisons. Les feuilles en automne. La neige en hiver. L'herbe au printemps. Sur des arbres qui portent des numéros. Sur des eaux vives et des fruits étranges. Il y a un désir criant dans ce film, le besoin d'être aimé, la peur de la fin.
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Il y a des surprises qui ressemblent à des miracles. Avant de tourner son film La Plainte de l'impératrice, Pina Bausch s'est pliée à un exercice. Elle a dû montrer aux coproducteurs des chaînes de télévision, qu'elle était capable de faire un film sans scénario. Sa méthode était incompatible avec les méthodes traditionnelles du cinéma. Ainsi, un film est né, un film qui documente les répétitions d'une de ses pièces portant le titre (intraduisible) Ahnen. Et ce film montre un ensemble de danseuses hors pair. En attendant, en cherchant et créant. Un document unique. En fait il y a ici vraiment de quoi crier au miracle.
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Jeunes filles en uniforme avec le DVD du film (1931)
Christa Winsloe
- Erosonyx
- Images
- 4 Juin 2022
- 9782918444558
Jeunes filles en uniforme, pièce d'abord intitulée Hier et aujourd'hui, est un drame lesbien. La pièce (1930) conte la passion qui naît entre une élève et une enseignante dans un pensionnat de jeunes filles soumis à une discipline de fer. Christa Winsloe y critique le militarisme prussien de l'entre-deux-guerres et une éducation destinant les jeunes filles à devenir des mères de soldats.
La pièce eut tant de succès qu'elle fut adaptée au cinéma dès l'année suivante par Leontine Sagan. La pièce et le film, avec les sous-titres de Colette, rencontrèrent aussi un grand succès en France en 1932. L'Allemagne nazie interdit vite les deux oeuvres.
Le film est ici proposé sur support DVD pour la première fois en France, en version originale, sous-titré par Colette avec l'autorisation de ses ayants-droit. Il a été édité sur le même support en 2021, avec sous-titres anglais seulement, par le British Film Institute.
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Comment j'écris ? et autres textes ; Valletti‚ travail en cours, un film de Laurent Perrin
Serge Valletti
- Solitaires Intempestifs
- Livres-dvd
- 8 Février 2011
- 9782846812924
Au siècle dernier, vers le début de la décennie 90, j'avais alors presque terminé mes quarante premières années et ma principale activité jusque-là avait été de participer modestement à l'aventure théâtrale française. J'étais à la tête d'une vingtaine de pièces de théâtre. Je tournais un peu en rond dans ce qu'il est convenu d'appeler l'inspiration. Pourquoi écrire une pièce de plus ? Que dire ? À qui ?
Reprenant des articles publiés autour de ces questions, le présent volume dresse non seulement un portrait de l'un des plus importants écrivains de théâtre français de notre époque mais pose aussi - avec humour - les conditions et nécessités de l'écriture théâtrale.
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Bleue, saignante, à point, carbonisée
Rodrigo García
- Solitaires Intempestifs
- Livres-dvd
- 15 Juillet 2009
- 9782846812566
« On associe beaucoup l'Argentine à la viande. On peut aussi dire que l'Argentine se fait manger. Il y règne toujours beaucoup de corruption avec cette oligarchie au pouvoir. Ce sont ces gens-là qui font les affaires. Pour les autres‚ il n'y a rien‚ aucune répartition de l'argent‚ pas la moindre distribution ou mise en oeuvre de quelque chose de plus juste. Bleue‚ saignante‚ à point, carbonisée, j'ai mis longtemps à trouver ce titre tout comme je souhaitais depuis longtemps travailler avec des gens qui ne sont pas des acteurs professionnels. » Bleue, saignante, à point, carbonisée revisite « La Murga », carnaval argentin auquel les « Murgueros », issus des quartiers défavorisés, se consacrent toute l'année.
L'ouvrage propose les textes du spectacle précédés d'un entretien avec l'auteur. Il est accompagné du DVD du spectacle présenté au Festival d'Avignon 2007.
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Parce que tout à l'heure !!! quand je suis passé devant, il y était !!!
J'aurais vu si ça manquait !!! J'aurais vu ! Mais il y était... y avait pas cette niche, ce manque plus clair dans la falaise. C'était tout intègre.
Et où est-il passé ? Bon... hé ben... il a dû tomber !
Il est tombé ! J'ai tourné le dos... il est tombé.
Y a pas vingt minutes je suis passé là-d'ssous... hein !
Il s'est décroché : Paf !!! Il est tombé !! Paf !!!
Bon ben... c'est bien, c'est bien le... la preuve que ça tombe, hein ?
Que ça tombe, que ça demande qu'à tomber.
Que c'est en train de tomber et que, d'un instant à l'autre, euh... ça sera tombé !
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Les Lessiveuses est au départ un film documentaire au sujet des femmes dont un ou plusieurs fils sont en prison et qui, semaine après semaine, années après années, maintiennent coûte que coûte un lien avec leur enfant, le seul possible, celui du linge : le linge sale qu'elles remportent et le linge propre qu'elles rapportent lavé, repassé, parfumé. En adaptant son film à l'opéra pour la Piccola Compagnie, Yamina Zoutat poursuit son cheminement en y ajoutant toute une dimension fictionnelle, bribes d'histoires, rêves, et met en scène une folie ordinaire.
A la rencontre des lessiveuses, elle nous confronte à des énigmes où se rencontrent deux folies : la folie maternelle et la folie carcérale. Oser cette rencontre, c'est s'aventurer en deçà des mots, dans "un territoire de rituels, de traces, d'emblèmes, de frontières, de pulsions chaotiques et violentes, submergé par d'étranges raz-de-marée auxquels les rives de notre identité furent de tout temps exposées".
Une femme est donc partie à la rencontre d'autres femmes qui partagent une situation identique mais qui sont con-damnées à vivre un même isolement, une même solitude. Elle revient avec trois personnages féminins d'âge et de condition sociale différents. Devient alors possible ce que la réalité interdit, des échanges entre mères : partage d'expériences, de peurs, de rêves ou de fantasmes. Les éclats de rires et les larmes contenus peuvent enfin éclater sur scène.
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Surmarionnettes et mannequins ; Craig, Kantor et leurs héritages contemporains
Carole Guidicelli, Didier Plassard, Lucie Bodson
- L'Entretemps
- La Main Qui Parle
- 29 Août 2013
- 9782355391699
Etudes, réflexions et témoignages sur les oeuvres de Craig, Kantor, et des artistes qu'ils ont influencés jusqu'à aujourd'hui.
Ce volume collectif rassemble les actes d'un colloque international qui a réuni en mars 2012 des spécialistes venus du monde entier. Il comporte à la fois des études sur des aspects inédits ou mal connus de l'oeuvre de deux grands maîtres de la mise en scène au XXe siècle, Craig et Kantor, et des analyses ou des témoignages sur des artistes qui s'inscrivent dans leur héritage. A travers la diversité des créateurs évoqués (de Schlemmer à Vienne, de Castellucci à Verdonck, de Sieni à Hirata), la fascination pour un théâtre d'effigies, où les signes de la vie et de la mort se confondent, est ainsi examinée dans ses développements les plus récents, d'un point de vue esthétique, poétique, philosophique ou anthropologique.
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C'est du théâtre comme c'était à espérer et à prévoir
Jan Fabre
- L'Arche
- 6 Juillet 2009
- 9782851817099
Ils vident des sacs de sable, ils lèchent du yaourt à même le sol, ils s'habillent le plus vite possible, ils s'enduisent de mousse à raser. Dix-huit gestes qui constituent pour Fabre une journée de travail au théâtre. Les spectateurs peuvent passer au bar et revenir ensuite, ils sont libres de traverser cette journée comme bon leur semble. Avec son esthétique des années quatre-vingt - projecteurs Super 8, crochets de boucheroe et costumes noirs et blancs - Fabre creuse un cratère dans le théâtre de cette époque.
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L'enfance est un royaume où l'on peut voir les dieux naître et mourir. Leurs figures se construisent dans le brouillard de notre identité. Chaque jour y est un règne. Parfois s'y mêlent la senteur d'un fruit‚ la voix d'un père‚ l'effigie d'un mythe‚ l'éraillement d'un souvenir ou la caresse rocailleuse d'une lamentation.
Dans ce royaume‚ ce que l'on est se cache dans le reflet de ce que l'on croit être. Une amitié relie le présent du monde au monde absent de nos illusions. Nous nous nourrissons de tout ce que nous touchons‚ capturant les mots qui s'étalent à nos pieds et qui lorsqu'ils sont prononcés sont des fagots que nous jetons sur le bûcher où brûlent nos peurs.
Ce livre contient le DVD Les Coulisses de la mémoire (25 mn) un film de François Royet sur la création de La Mort d'Adam au Festival d'Avignon 2010.
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En 1980, Jan Fabre rassemble plusieurs amis/acteur autour de lui pour créer sa première pièce de théâtre, Théâtre écrit avec un "k" est un matou flamand. Il s'agit du premier volet d'une trilogie (qui se poursuit avec C'est du théâtre comme c'était à espérer et Le Pouvoir des folies théâtrales.) Les trois productions se réfèrent explicitement au théâtre comme un lieu en pleine ligne de mire; Fabre met le théâtre sens dessus dessous et cherche à savoir ce dont il peut se débarrasser dans / à travers ce média. Au niveau formel par contre, les trois productions sont on ne peut plus éloignées l'une de l'autre. L'approche du théâtre est différente dans chacune d'elles: maniériste dans le Pouvoir..., à la façon d'un ready-made dans C'est du Théâtre..., et avec la force combative de la performance dans Théâtre écrit avec un "k"... .
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J'ai toujours travaillé avec cette idée qu'on atteignait des gens au-delà des gens qui sont matériellement là‚ et cela par l'intermédiaire justement des gens qui sont là.
C'est peut-être une folie mais en même temps je sens que c'est vrai. Je sens que ça existe.
De toute façon la circulation de l'esprit est plus durable que la circulation du sang.
Inclus un DVD avec le film d'Alexandre Barry
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Le roi et le marabout ; défaite ou resurgence des idolatries ?
Yaya Sy
- L'Harmattan
- 30 Juillet 2015
- 9782343065229
Cette "tragédie" met en scène une Afrique tiraillée entre l'Orient et ses propres valeurs ancestrales. Cette fiction autonome a été écrite à partir du texte originel qui met en scène deux hommes, deux acteurs malgré eux, d'une tragédie aux dimensions cornéliennes et pluriverselles. Un nouveau monde naît sous nos yeux dans la violence de l'accouchement difficile du métissage culturel.
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Concerto pour autotypo, conques et bulles - duo
Fabrikdelabeslot, Julien Blaine
- Al Dante
- 21 Février 2014
- 9782847618068
Livre concept, publication d'artiste :
Texte de la performance de Julien Blaine intitulée :
Je parle à la machine mis en page par l'artiste polymorphe Fabrikdelabelost, avec un montage de photographies, de dessins et de jeux typographiques.
Le DVD offert avec le livre donne à voir le film d'une performance sonore, où Julien Blaine déclame son texte, accompagné de Fabrikdelabeslot (avec ses étranges instruments de musique bricolés avec des tuyaux fabriquant des bulles), et de machines typo en marche.
Cette perfomance a eu lieu dans les ateliers d'impression de l'École Supérieure d'Art et Design Grenoble-Valence, le jeudi 10 février 2011.
Ce livre est préfacé par Annick Lantenois, qui enseigne l'histoire et la théorie du design à l'ESAD (École supérieure d'art et de design) de Valence.
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Trois fois, Antoine Vitez a traduit et mis en scène Electre de Sophocle.
Et trois fois - en 1966, en 1971 et en 1986 -, la même actrice, Evelyne Istria, a interprété le rôle d'Electre. Expérience inédite dans l'histoire du théâtre et qui témoigne avec force de l'art d'Antoine Vitez. Le livre Trois fois Electre propose l'intégralité de la traduction de la pièce de Sophocle par Antoine Vitez, les textes d'Antoine Vitez sur la pièce, des documents inédits, et notamment les dessins de Yannis Kokkos pendant la préparation du spectacle de 1986.
Un entretien avec Evelyne Istria, réalisé pour l'édition de Trois fois Electre, accompagne l'ensemble de ces documents rares. Le DVD rassemble des documents audiovisuels de première importance extraits des archives de l'Ina et du CNDP : le lecteur découvrira ainsi le jeune Vitez présentant sa première mise en scène devant les caméras de la télévision française en 1966, des extraits de la deuxième Electre tournés au Théâtre des Quartiers d'Ivry en 1971, et enfin le film intégral réalisé au Théâtre national de Chaillot par le cinéaste Hugo Santiago en 1986.
Le CD audio offre une sélection d'extraits d'entretiens avec Antoine Vitez diffusés sur France Culture, à propos de ces trois Electre, du théâtre antique et de la mise en scène en général. L'IMEC, l'Ina et La Maison d'à côté se sont associés pour réunir l'ensemble des documents écrits et audiovisuels qui retracent cette aventure exceptionnelle.
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A la mort de sa mère Frédérique décide de placer Juan son père, en maison de retraite.
Seules les visites d'Hannah, une jeune fille dans l'établissement viennent égayer le quotidien de celui-ci. C'est elle qui saura remettre le père et sa fille face à leurs responsabilités de parent et d'enfant.
Trois destins croisés pour ré-apprendre à s'aimer.
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