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Littérature
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" Je cherchais depuis longtemps comment aborder Le procès au théâtre, le rendre audible et visible en évitant clichés et pièges.
Je ne voulais pas d'une pièce politique, ni théologique, ni psychologique, ni psychanalytique. Grave et léger, tragique et burlesque, atypique et universel, énigmatique et évident, limpide et mystérieux : les qualificatifs s'accumulent, s'opposent et révèlent chacun à leur façon une des facettes de ce roman inachevé. Il fallait donc témoigner de l'ensemble, et plus encore. Cette tâche nécessitait de repartir du texte original écrit en allemand, de trouver ensuite une direction de jeu et un espace propres à traduire un monde d'apparences, de paradoxes, où la vérité s'éloigne au fur et à mesure qu'on s'en approche, où les événements s'enchaînent avec une logique implacable tout en donnant l'impression d'une totale liberté, voire d'une parfaite insouciance.
Ces contradictions, ces ambiguïtés, le monde paradoxal dans lequel évoluent Joseph K et ses acolytes nous immergent dans un univers d'un comique terrifiant, tragiquement burlesque. Mieux vaut donc en rire. " Alain Timar.
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En 1920, en Virginie, naît une petite fille afro-américaine dont les cellules vont révolutionner l'histoire de la médecine sans que les manuels de biologie ne mentionnent sa véritable identité.
A partir d'un prélèvement dont elle n'avait pas été informée, la plupart des laboratoires du monde entier vont travailler sur la lignée de ses cellules cancéreuses, les premières à pouvoir être cultivées indéfiniment in vitro.
Cent ans plus tard, une journaliste se met en quête de sa trace, télescopant passé et présent, ségrégation raciale et désir de liberté...
Qui donc était Henrietta Lacks ? -
Mais qu'arrive-t-il donc à Philibert ? Quelque chose ne tourne plus tout à fait rond. Il est la plupart du temps ailleurs, disparaît longuement dans sa chambre, ou encore - et c'est bien là le plus étrange, voire le plus inquiétant - adopte des comportements complètement inhabituels : tantôt agressif et grossier vis-à-vis de ses parents, tantôt serviable à l'excès au point de récurer la maison jusque dans les moindres recoins...
En dehors du fait que Philibert est un enfant turbulent détestant les épinards, ses parents ne remarquent rien, ou presque. Seule sa grande soeur, Capucine, s'aperçoit de la déconcertante métamorphose et s'en alarme. Elle décide de prendre plus de temps à l'observer et à tenter de comprendre ce qui peut motiver ses comportements incohérents. C'est d'ailleurs elle qui nous raconte ce curieux et tragique épisode dont la famille ne sortira pas indemne
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Dramaturgies de l'atelier-théâtre Tome 2 : au bonheur des petites formes
Chantal Dulibine, Bernard Grosjean
- Lansman
- 30 Mars 2016
- 9782807100787
Cet ouvrage traite des principaux enjeux et problèmes rencontrés dans la mise en place et l'animation des ateliers-théâtre. Il interroge les différents modèles qui en conditionnent le fonctionnement et il propose des pistes concrètes pour instaurer des approches collectives et variées du jeu théâtral, allant de la simple « mise enjeu » au « jeu maîtrisé ».
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Binta quitte son mari Bachir après des années de mariage pour aller rejoindre un autre homme qu'elle a rencontré via internet. Les mois passent. Les enfants, partis avec l'espoir de revoir leur maman, sont retrouvés morts dans le train d'atterrissage d'un avion. Bachir, ne supportant pas d'avoir perdu sa femme et ses enfants, décide de mettre fin à ses jours.
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Dans un monologue, Carine Bielen raconte son histoire, celle d'une femme issue d'un milieu précaire et maman de Logan. Elle évoque également ses problèmes d'alcool.
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Norman est un garçon de 7 ans tout à fait banal qui aime porter des robes. Plus ça tourne, plus c'est gai. Son rêve est d'en porter une pour aller à l'école. Et ce jour arrive enfin. Famille, voisins, touristes, tous les regards se posent sur lui et les commentaires vont bon train. C'est l'enfer. Alors son père (qui l'accompagne chaque matin) décide par solidarité de porter une robe aussi... Norman c'est comme normal, à une lettre près questionne joyeusement le rapport à la norme, l'acceptation de la différence et les codes culturels d'appartenances aux genres.
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Lili et Naji, deux adolescents que tout sépare, se sont un jour trouvés face à face par les hasards de la vie. Elle est née sur le sol français, lui dans un pays en guerre. Ils se sont toisés, se sont cherchés, se sont devinés..
Dans ce temps suspendu de la rencontre, la mémoire de Naji a resurgi par fragments, bousculant Lili dans sa vision de ce qui se passe ailleurs, l'éveillant notamment à la réalité des conflits armés jusqu'alors perçus comme lointains. Par la confrontation de ces deux adolescents, la pièce Waynak aborde à travers leur regard l'absurdité des conflits qui secouent le monde. Mais elle parle aussi et surtout des liens indestructibles qui se tissent lorsque l'on parvient à se reconnaître dans l'Autre.
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Antoine rêve de partir, de s'envoler pour Patong, en Thaïlande, loin de sa ville où les citadins, vus du toit de la Grande Tour, ressemblent à des fourmis, toutes identiques, pressées et oppressées. L'échappatoire serait peut-être de devenir chauffeur indépendant et travailler sur la Plateforme, une application mobile qui promet à ses nouveaux utilisateurs des conditions de travail idylliques.
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Anton Tchekhov, malade, se rendant au chevet de ses propres créatures... tel est le chemin que nous propose Matéi Visniec pour nous replonger dans l'univers de ce grand auteur qu'il respecte et admire. Une occasion de (re)découvrir ces personnages, tous plus surprenants les uns que les autres, qui ont traversé les siècles sans prendre une ride. Sans doute parce qu'au-delà de leur ancrage dans la réalité, le temps et l'espace d'un monde révolu, ils portaient toute l'universalité et la puissance des petits et grands drames de l'humanité.
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Dans cette petite ville de province, elle mène une vie presque sans histoire : un mari très occupé et bien intégré dans la petite bourgeoisie locale, deux garçons déjà grands, une officine de pharmacie prospère et la messe tous les dimanches. Bref la routine paisible que sa rencontre avec des catholiques traditionnalistes va bouleverser. En se joignant progressivement à leurs manifestations passionnelles contre les spectacles blasphématoires, contre l'avortement, contre le mariage pour tous... elle reprend goût à la vie sociale, au coude-à-coude fédérateur, puis au militantisme pur et dur, jusqu'à glisser au fil du temps, avec une sincérité déroutante et par souci d'intégration, vers un radicalisme idéologique qui peut mener au pire. Le fils explore donc habilement, avec humour et émotion, les mécanismes destructeurs du glissement idéologique. Ecrite par Marine Bachelot Nguyen sur une idée originale de David Gauchard, directeur de la compagnie L'unijambiste, la pièce a également bénéficié du regard complice de la comédienne Emmanuelle Hiron impliquée dès les premières lectures.
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