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Jets D'Encre
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Magali, l'amour à la folie ; Sidonie, la vie à l'infini
Isabelle Jean-Louis
- Jets D'Encre
- 1 Juillet 2018
- 9782355230066
Juin 1967. Dans le nord-est de la France, Lucinda, guadeloupéenne de 17 ans, s'apprête à donner la vie à Magali sous le regard désapprobateur de la Mère Supérieure d'un couvent... Octobre 1940. Dans une Guadeloupe tourmentée, Sidonie voit le jour puis grandit sous le regard concupiscent de son beau-père... Seules face aux aléas de l'existence, entre amours impossibles, drames familiaux et rencontres malheureuses, les deux femmes se rejoignent dans une même lutte, une même quête : celle du bonheur et du sens de la vie. Dans ces deux nouvelles touchantes, mises en lumière par des femmes fortes et attachantes, Isabelle Jean-Louis rappelle, avec finesse et réalisme, que l'amour, qu'il soit familial, amical ou passionnel, triomphe de tous les obstacles pour peu qu'on ne cesse jamais de se battre pour le défendre.
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À l'aube de sa renaissance, un être, seul face à son destin, nous entraîne dans les méandres de son esprit... Délicieuse et douloureuse errance quand tout vous lâche et vous abandonne.
Destins croisés sur le chemin de la Vie d'une recherche perpétuelle du bonheur, l'existence ne tient finalement qu'à un fil mais lorsqu'on a le courage de reprendre la maîtrise alors peut-être l'espoir renaît et le bien-être s'installe, enfin !
Combat ultime et immuable contre le temps et pour son âme.
Le récit épique d'une époque révolue et pourtant magnifique pour humblement ne pas laisser passer cette chance de choisir son combat et peu à peu d'être heureux. -
Achille est fou amoureux de sa professeure d'anglais. Lorsqu'on lui propose d'ouvrir le bal de fin d'année du lycée avec Mrs Walker, il y voit là l'occasion parfaite de la séduire. Mais la professeure ne risque-t-elle pas de ne voir en lui qu'un adolescent en manque d'affection, et non un fougueux amant potentiel ?
« Le Bal de fin d'année », « Le Réveil matinal » : dans ces deux nouvelles au réalisme saisissant, Yvette Gracia Essongué brosse l'émouvant portrait d'une adolescence exaltée qui se heurte brutalement à la violence et à l'infidélité.
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Si les gens savaient à quel point écrire un roman est ennuyeux, ils n'en liraient pas. Disons plutôt un feuilleton alternatif en dix épisodes, entre Aleister Crowley et Daniel Walther. On y suivra la partie de tarot disputée par les copains d'alors, leur errance au travers de sombres contrées, toujours plus au nord, en quête d'une arme, de gnose ou tout simplement d'interdit.
Entre affaires et horreurs, les désarrois de Magick Wallonie signent le crépuscule d'une époque : la chute du mur de Berlin, la guerre à l'Est, les prémices du politiquement correct... En somme, une fin de millénaire à l'ancienne, sans autoroutes de l'information ni carambolages de réseaux sociaux, sans question migratoire hormis quelques visiteurs du miracle, au-dessus de nos voies rapides, les mieux éclairées de la planète.
Tout cela est si loin... Le temps passe, fatidique. À présent, sur les chemins qui ne mènent nulle part, je sème des cailloux. Comment ai-je fait pour mettre autant de désordre dans une vie si minuscule ? C'est simple comme une mélodie de carrousel, un miroir aux alouettes ou une chausse-trape qui claque : lorsque le voile tombe et que tout semble fini, le petit garçon déçu que l'on était cueille la mandragore, fraîchement éclose. -
L'art trait d'union Tome 2 ; le monde à Aubervilliers
Collectif
- Jets D'Encre
- 1 Juin 2013
- 9782354853969
Pour la deuxième année consécutive, Louise L. Lambrichs et Nathalie Tambutet proposent un choix de textes écrits par des lycéens du lycée Le Corbusier (Aubervilliers) dans l'atelier de l'écrivain. Ces textes, écrits en liberté, témoignent de la richesse des mondes intérieurs et des regards sur le monde qui se côtoient et se croisent dans cet établissement situé dans une zone classée, par les autorités, « zone prévention violence ». Ils témoignent aussi d'expériences fortes, et de cette maturité méconnue d'adolescents confrontés à un monde violent qui trop souvent les enferme dans des jugements collectifs, sans égard pour la singularité de chacun. Dans l'espace de l'atelier, chacun a vu s'ouvrir un espace nouveau à l'intérieur duquel il a pu exprimer, dans des textes où se mêlent expériences et imagination créatrice, ses joies, ses désirs, ses craintes, ses angoisses. Ces voix, loin de se réduire à celle des « quartiers » stigmatisés par notre démocratie, viennent de tous les coins du monde. Ici, à la faveur d'une initiative artistique, elles se rencontrent pour dire leurs mondes intérieurs et environnants, et rendre ainsi visible ce que chacun a de plus précieux : ce dont il souffre, ce qu'il imagine, et ce qu'il désire.
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Elles s'appellent Malika, Céline, Jasmine, Maeva, Léocadie... Une a disparu du jour au lendemain sans laisser d'adresse, une cherche à se réconcilier avec son passé, une autre se laisse aborder par un inconnu dans un parc. En tout, douze femmes aux situations, aux âges et aux histoires disparates, mais au destin unique.
Pour chacune d'elles, Jean-Marie Polet saisit la part la plus intime de l'être à travers un parcours ou un instant cristallisé dans un récit. En collectant des tranches de vies à la manière d'un éblouissant herbier, il esquisse avec dextérité le coeur d'une humanité palpitante et chamarrée.
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Ces textes crus et violents traduisent les sentiments les plus sincères de l'auteur. Ils disent sa souffrance et ses émotions avec un rapport au corps, au handicap, à l'alcool et à la nourriture tout à fait particulier. Mêlant humour et agressivité, Philippe Perez provoque le lecteur mais l'intrigue suffisamment pour qu'il ait envie de continuer sa lecture. Il n'en sera d'ailleurs pas déçu !
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Le retour des champs avec bêtes et charrettes ; les leçons du soir sur la table familiale ; le passage du certificat d'études ; les premiers congés payés ; le sauvetage de randonneurs accidentés ; le plaisir de skier ; l'observation de la faune montagnarde... Des plaines du Centre aux sommets des Alpes, René Bertrand peint une succession de tableaux aux paysages éblouissants peuplés de personnages hauts en couleur, ressuscitant avec talent l'atmosphère de la France rurale à l'aube de la seconde guerre mondiale.
Écrit dans une langue pittoresque élégamment maniée, un recueil de nouvelles naturalistes ourlées de tendresse et de poésie.
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Les adultes espèrent, les petites filles rêvent, mais la réalité s'en moque. Les roseraies partent en flamme, les vases écarlates finissent en miettes et les amours s'évaporent. Pourtant, les rêves demeurent et, en mots ou en musique, donnent naissance à chacune de nos histoires. Dans ce recueil de nouvelles, Ingrid Aubry-Sarriot met en scène, d'une plume douce-amère comme le temps qui passe, un panel de personnages et d'émotions aussi variés que les pierres qui jalonnent le chemin d'une vie.
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Un père, qu'est-ce que c'est ? C'est ce que se demande un petit garçon qui n'en a pas. Un père, pourquoi ça se respecte ? C'est ce qu'aimerait savoir Enzo, 17 ans, dont les parents divorcent. Un père, s'interroge un vieil homme dans son appartement vide, est-ce que ça peut vivre sans enfant ? Un père, finalement, qu'est-ce que c'est ?
Alternant les points de vue, les âges et les situations, Allan Greiner aborde avec sobriété et finesse la notion complexe de famille dans ce recueil de nouvelles teinté d'une douce nostalgie. -
Dans ce livre, un insecte surprenant mène un combat épique contre un homme ordinaire dont il a envahi le logis ; des personnes âgées s'affrontent à coup de médicaments et d'opérations, et un jeune ogre des pistes fond sans pitié sur un joggeur du dimanche... Les vainqueurs semblent tout désignés mais quand l'absurde et le loufoque sont de la partie, tout devient possible, pour le meilleur... et surtout pour le rire ! D'un style léger et moderne, Gabo Gnikpingo propose trois nouvelles pleines de peps et d'humour qui transforment les petits riens du quotidien en délicieuses histoires drôles.
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Étienne et Camille, employés chez Logic Solutions, attendent devant le bureau de caisse qu'on paye enfin leur salaire ; Hans et Lucie ramassent un menaçant morceau de métal lors d'une randonnée ; Fally, jeune simplette, est accusée du meurtre de l'homme qui l'a violée... Tristesse, désespoir, tragédie, la vie est parsemée de ces noirs éclats qui semblent en absorber toutes les lumières. Pourtant, sous ces ombres, dans des instants aussi fugaces qu'essentiels, se révèlent des rayons d'espoir et de joie qui donnent toute sa richesse à l'existence...
D'une plume élégante et mélancolique, Pierre-Louis Berger cristallise, dans ce recueil multiforme où se mêlent nouvelles, théâtre et poésie, l'éclat clair-obscur si particulier du quotidien des êtres humains. -
L'amour, c'est ce qu'ils recherchent tous. Cet homme fasciné par les baisers, cette femme qui frôle les inconnus dans le bus, ce vagabond qui récolte précieusement les pierres « qu'elle » a touchées... Tous aiment, aiment à en désespérer. Mais leur amour ne leur est pas retourné. Alors, les marques de lèvres sur les verres, il les vole ; la chaleur des autres, elle la subtilise ; les cailloux abandonnés, il les dérobe. Voleurs ! ils aiment au-delà des interdits. Rêveurs ! ils aiment, car n'est-ce pas le plus important dans la vie ?
Dans un tourbillon de couleurs, de masques, de songes et de sentiments, Gabriel Baptiste rédige huit nouvelles mélodieuses qui, envoûtante danse des cinq sens, rendent hommage à la multitude de formes, douces, étranges ou cruelles, que peut prendre l'amour, ce complexe rêve réel. -
Son travail l'ennuie, la banalité l'ennuie, il s'ennuie. Il est jeune mais déjà l'existence n'a plus d'intérêt pour lui. Il passe de bras en bras, de femme en femme, de bouteille en bouteille pour essayer de vivre, de ressentir. Sans succès. Heureusement, il a des mots dans le coeur, de la rage dans la plume et ça sort, ça sort, brut et sans fioritures, en nouvelles qu'il rédige comme on tire sur un joint : pour oublier, pour s'évader quelques heures d'un quotidien sans intérêt...
Provocateur, vibrant de colère et de rêves déçus, Ian B. Finman dénonce, dans un style qui emprunte à l'oral sa force et sa franchise, le quotidien sombre et répétitif d'une société vide de sens à laquelle, sans le secours d'histoires à raconter pour l'embellir, il devient difficile de s'intégrer.
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À Brazzaville, le soleil se lève sur un nouveau jour. Déjà, la ville s'active. Les routiers - mopilas, chargeurs, moucontras et mange-milles - sont dans leur véhicule, qui aidant, qui escroquant son prochain, tandis que les vies, chatoyantes et si vives, s'épanouissent dans tous les coins de la capitale... et s'éteignent aussi parfois. Alors se tiennent les matangas, veillées funéraires animées où se révèlent tour à tour secrets de famille, étranges anecdotes ou belles histoires d'amour...
À travers sept nouvelles qui mêlent français, lingala et kituba, Marcel Mabiala Mbouyou peint avec beaucoup de réalisme le quotidien d'un Congo authentique et vivant dont il défend, sincère et convaincant, la richesse culturelle.
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Hiver 1915, le monde est en guerre. Alors qu'un obus explose à proximité de sa tranchée, Jean est grièvement blessé à l'abdomen. Pour tenter de sauver sa vie, il part se réfugier dans une forêt. C'est la porte d'entrée d'un univers parallèle étrange et merveilleux dans lequel il retrouvera celle qu'il aime depuis toujours : Fédora.
Dans ce conte poétique dont l'action se déroule pendant la Première Guerre mondiale, François Aube aborde avec beaucoup d'élégance les thèmes de l'amour, de la mort et de la nature à travers les visions métaphoriques d'un soldat à l'aune de son ultime voyage. -
Il existe sur Terre des témoins silencieux de l'amour et de la passion. Eux seuls se souviennent des moments que Victoria et Amandine ont passés dans la maison aux livres avant le drame. Eux seuls se souviennent de cet homme, qui, il y a des années, a pris une décision que les âmes errantes attendaient. Une décision qui a bouleversé non seulement sa vie, mais aussi celle de tous ceux qu'il a croisés. Grâce à ces témoins, le souvenir demeure. Ils attendent patiemment que quelqu'un vienne les chercher et leur demande de raconter leur histoire, l'histoire de ces êtres qui ont un jour vécu.
Dans ce recueil de nouvelles, l'auteur explore avec beaucoup de poésie la pureté et la sincérité des sentiments. Une chose est sûre, lorsque deux âmes sont destinées l'une à l'autre, elles se retrouvent toujours. -
Irénie, c'est celle qui cherche la compréhension mutuelle en se focalisant sur ce qui unit ou rapproche et qui minimise ce qui éloigne ou amène au conflit. C'est de l'irénisme que Marcel Dupertuis a créé son Irénie, cherchant à exprimer l'essence même du rapprochement dans une écriture sans ponctuation, toujours en superposition. Ces nouvelles et fragments d'existence renouvellent des univers empruntés à l'oeuvre littéraire et plastique de l'auteur et explorent les potentialités d'une écriture libérée de ses règles. En choisissant de ne pas s'interrompre, Marcel Dupertuis crée un lien entre ses oeuvres passées et ses oeuvres futures et amène à son paroxysme le concept de l'innutrition artistique.
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Dix fictions, une tunique d'Arlequin, un manteau de chimère, une cape d'invisibilité. N'en lire qu'une, c'est déjà trop. Les lire toutes, quelle déception ! Dans un sens ou dans l'autre, on sera interdit car, comme chacun sait, la Loi est venue pour que le crime augmente.
L'Interdit constitue un jalon dans une histoire à écrire, celle d'un fantastique qui n'aurait rien de « belge » ou alors négativement, par une malédiction. Un « imaginaire wallon », mais sur un mode radical, sans folklore de Basse-Meuse, ni édulcorants provinciaux, revu et corrigé à la manière d'un Zulawski ou d'un Gogol, imprégné de makrâlerie, de batailles nocturnes et d'occultisme, profondément ressourcé par des courants d'Europe de l'Est.
Une simple anthologie ? Non, il s'agit à la fois d'une entité harmonique - son contenu ne s'épuise pas dans l'anecdote, sa structure nous adresse une énigme - et d'une camera obscura qui projette la fantasmagorie d'une région jusque-là inconnue de la République des Lettres : la Wallonie underground. -
La solitude, la maladie, le deuil : autant d'épreuves qui s'invitent furtivement dans la vie et jalonnent son chemin de drames inoubliables, voués à changer le cours de l'existence. Mais l'espoir qui demeure tapi et sait jaillir l'emporte sur les moments d'affliction, rappelant que l'avenir est porteur d'un meilleur jour.
Dans cette mosaïque d'histoires emplies d'amour et de souffrances, Meryl Cussey esquisse avec sensibilité le portrait d'une galerie de personnages aux destins touchants et variés, et cède la parole à ces voix tourmentées qui retentiront en chacun d'entre nous. -
Dans ces nouvelles, outre celles déjà éditées par la métropole de Nice à l'usage des bibliothèques de la ville, on retrouvera certains moments évoqués dans les deux romans publiés précédemment. Mais l'auteur, s'il peut peindre des personnages à la fois naïfs et vrais, bons et honnêtes, va plus loin en décrivant des scènes sociales toujours malheureuses, parfois mesquines, voire ignobles, tant l'homme, dans son orgueil et sa médiocrité, peut, in fine, n'être qu'un composé de choses a priori incompatibles.
Il y a les Enfantines dont certains personnages font penser par leur caractère ou leurs attitudes à d'autres personnages des romans dans des situations à la fois différentes et semblables par leur état d'âme dans leurs actions.
Il y a le Merveilleux. Qui n'a pas goûté aux contes de fées où les citrouilles sont changées en carrosses et les souris en fringuants chevaux ?
Il y a les Destins. Autant d'êtres vivants autant de destins quelle qu'ait pu être l'existence de chacun. La vie est là, avec ses vicissitudes, ses moeurs éparses, sa morale ordinaire souvent bafouée. -
Lorsque des amis d'enfance se retrouvent, tout ce qui les retient à leur quotidien d'adulte vole en éclat pour laisser place au plaisir de se voir et de renouer avec les codes de leur jeunesse. Dans un style frais, moderne, empreint d'humour et de légèreté, Grégory Lahmy peint avec une tendresse complice ces jeunes trentenaires qui gardent un pied malicieusement - mais solidement - ancré dans leur adolescence passée.
Un recueil de nouvelles au réalisme détonnant, qui plonge le lecteur dans un univers bouillonnant d'énergie et d'euphorie. -
Qui n'a pas rêvé d'être une légende du foot, de surpasser tous les candidats lors d'une épreuve sportive ou encore de piloter une voiture de course à toute allure ? Qui n'a pas voulu détrôner le plus grand scientifique de son temps ou manier la langue de Molière comme personne ? Quel petit garçon voudrait rester seul dans son coin alors que les autres s'amusent ?
Ce sont des sportifs du dimanche, des scientifiques incompris, des poètes méconnus et des petits garçons pas comme les autres qui sont réunis ici sous la plume malicieuse de Grégory Lahmy.
Tantôt drôle, tantôt touchant, l'auteur convoque les émotions dans ce deuxième recueil de nouvelles pour le moins détonantes.
