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La Part Commune
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Le champion de lady Falconbridge
Arthur Conan Doyle
- La Part Commune
- La Petite Part
- 3 Octobre 2024
- 9782844184870
Doyle, un écrivain d'une époque en pleine mutation, était lui-même un observateur averti des dynamiques sociales et politiques de son temps. Bien qu'il soit surtout connu pour ses récits policiers, son engagement dans des questions sociales et politiques transparaît également à travers ses autres écrits, y compris dans Le Champion de Lady Falconbridge. En tant qu'écrivain engagé, Doyle utilisait souvent ses récits pour exprimer ses opinions sur des questions sociales et politiques importantes. Le Champion de Lady Falconbridge ne fait pas exception, et à travers les aventures de ses personnages, on peut déceler les préoccupations et les valeurs de son auteur.
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« La Mort de la sirène » est l'un des joyaux écrits par Rachilde (1860-1953), sacrée en son temps « Reine des décadents ». Dans un pays du Nord, à une époque inconnue, deux jeunes pêcheurs attrapent une étrange créature, qui va les mener à leur perte. L'atmosphère onirique et érotique de cette pêche infernale intoxique le lecteur, abandonné à cette douce cruauté. Tous les grands motifs littéraires de Rachilde paraissent concentrés dans l'hallucination provoquée par une écriture saturée d'images. Par contraste, dans les cinq histoires qui suivent, publiées dans le journal Fin de Siècle, entre 1891 et 1893, l'humeur devient légère et le climat boulevardier. Rachilde y déploie toute sa malice et n'épargne aucun de ses personnages dont elle montre les travers avec une satisfaction non dissimulée.
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Stendhal est un auteur qui a marqué le XIXe siècle avec ses livres comme Le Rouge et le Noir. Entre romantisme et réalisme, Stendhal dépeint la société qui l'entoure au travers de ses oeuvres.
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En 1793, dans une période historique mouvementée, deux généraux républicains, sont envoyés pour surprendre une messe clandestine dans le bocage vendéen; ils assistent écoeurés à un carnage qu'ils ne cautionnent pas. Soudain, un jeune Vendéen vient supplier le général Marceau de le sauver. Marceau dépouille un cadavre républicain de son uniforme et revient pour en revêtir le Vendéen qui a perdu connaissance. En dégrafant son habit, Marceau découvre qu'il s'agit d'une jeune fille...
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Une première amoureuse
Edmond de Goncourt, Jules de Goncourt
- La Part Commune
- 9 Mars 2023
- 9782844184429
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Rudyard Kipling parvient à restituer l'atmosphère et les paysages de l'Inde qu'il connaît dans ses moindres recoins, ses particularités sociales comme ses mystères.
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Paul Bourget (1852-1935) développe dans son oeuvre romanesque une approche psychologique et traditionnelle. Dans Amitié de femme il joue avec son lecteur et le fait osciller entre l'amour idéalisé et l'idéalisation de l'amour et l'invite à quelques questionnements relatifs au désir et à la volupté...
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Dans ses contes et nouvelles en prose, l'élégie se teinte souvent de fantaisie, d'humour et d'ironie.
Si « Le Convalescent » et « La Caissière », deux histoires d'amours manquées, s'autorisent un certain lyrisme, « La Maison abandonnée » voit le rêve romanesque s'effriter face aux cyniques réalités de la vie. « Monsieur le Marquis » nous entraîne dans la période rocambolesque allant de la Révolution française à la Restauration, tandis que « Deux Pitres » contient une satire politique et sociale féroce, toujours d'actualité -
« L'Avaleur de sabre » explore les thèmes de la fascination, du danger et de la passion. Lemonnier utilise l'histoire de Gorazde pour mettre en lumière les limites extrêmes auxquelles certaines personnes sont prêtes à aller pour repousser les frontières de la vie ordinaire. La nouvelle nous plonge dans un univers mystérieux et captivant où les émotions fortes et les gestes audacieux se mêlent pour créer une histoire intrigante et pleine de rebondissements.
« L'Avaleur de sabre » est une histoire qui se déroule dans un cirque et raconte l'histoire d'un avaleur de sabre nommé Gorazde. Il est connu pour sa prouesse et sa témérité lorsqu'il avale des sabres devant un public ébahi. C'est l'une des oeuvres les plus célèbres de l'auteur et elle est souvent considérée comme un exemple emblématique de sa maîtrise du réalisme psychologique. -
L'art de se faire aimer. conseils aux fats
Leo Trezenik
- La Part Commune
- 13 Octobre 2022
- 9782844184306
L'art de se faire aimer est un délicieux tableau de muflerie désuète, où les dupes ne sont pas toujours ceux que l'on croit...
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Vive la vie ! est un recueil de 29 nouvelles dont nous avons extrait 8 nouvelles.
Ce titre est paru pour la première fois en 1892 : Librairie Marpon et Flammarion, 290 p. Collection Les Auteurs gais.
Ce sont des histoires drôles où se cache un humour glacial plutôt amer sous une apparente gaieté.
Dans la première nouvelle intitulée : La fin d'une collection, il s'agit du marquis, Bois-Lamothe, homme riche, beau, solide et grand propriétaire foncier.
Grand coureur de jupons, inlassable trousseur de jupons. Mais le marquis est un grand collectionneur d'haricots. Il trie toutes sortes d'haricots et il les trie selon leur couleur : noir, violet, blanc, rouge, enfin tout ce qu'il trouve comme haricots. Un jour, arrivent chez lui son neveu et sa femme et ils ne trouvent pour les recevoir que la servante du marquis. Les invités attendent le retour du marquis mais il tarde à rentrer alors la nièce du marquis demande à la servante de quoi préparer le déjeuner et se dirige vers la cuisine et demande les ingrédients nécessaires. Elle prépare un très bon repas et voici le marquis qui arrive. Il salue son neveu, sa nièce et après les salutations, ils passent à la table. Le marquis a commencé à manger, et voilà qu'on lui présente un bon plat d'haricots : à la vue de ce plat avec sa collection d'haricots ses yeux sont exorbités et il tombe de sa chaise : il est mort.
Moralité : Blaguez le collectionneur tant que vous voudrez, mais ne leur faites jamais manger leur collection, même à l'oignon.
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D'allure badine, « La Boule » dissimule un véritable traité d'esthétique. « Le Perroquet » nous enseigne l'art du détournement. « L'Invasion » révèle sans vergogne la fragilité des cloisons d'hôtel. « Le Teinturier » montre la vengeance, haute en couleur, d'un mari bafoué. Enfin, par contraste, « La Confession de Dieu » interroge la véritable mission du Christ sur terre.
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Léon Gozlan, qui fut un proche de Balzac, est l'auteur d'une oeuvre non dénuée d'humour et de finesse d'observation de son temps. Et à ce titre, cette nouvelle ne déçoit pas et plonge le lecteur au plus près de la vie de jeunes oisifs du milieu du XIXe.
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Publié en 1888, trois ans avant sa mort, et après douze années de silence, John Marr et autres marins est l'avant-dernier recueil de Herman Melville. Inédit en français dans son intégralité, le recueil mélange deux récits où prose et poésie se répondent, quelques très longs poèmes (parmi les plus longs qu'il ait écrits), et un ensemble de courts poèmes dont il a le secret. Tous tournent, comme le suggère le titre, autour de la mer et constituent, en quelque sorte, le chaînon manquant entre Moby Dick et Billy Budd. Ils se nourrissent de la propre expérience de Melville et font remonter des souvenirs personnels dans des textes aux accents vibrants d'humanité et de déréliction. Car c'est cette fraternité humaine, dont il porte la nostalgie, qu'exalte Melville, par opposition à la nature inhumaine de la mer.
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Récit d'une vie dominée par la fièvre consommatrice début XXe et entrecoupé d'épisodes cocasses où défilent les inventions les plus fantasques et les plus vaines. Un cri d'alarme, auquel le lecteur d'aujourd'hui peut encore tendre l'oreille...
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Frigyes Karinthy est incontestablement l'un des maîtres de l'humour hongrois, l'équivalent d'un Karl Kraus en Autriche, qui s'inscrit dans la tradition de Rabelais, Voltaire, Swift ou Twain, des auteurs qu'il a d'ailleurs traduits. Ses traits d'esprit sont ravageurs, son humour absurde et son ironie caustique. Il n'est pas rare qu'un brin de folie s'infiltre dans sa métaphysique corrosive du quotidien pour mieux renverser les conventions. Les cinq nouvelles rassemblées dans ce volume sont toutes de la même veine, où Karinthy, sur fond d'un fantastique corrosif, laisse percer sa conscience politique résolument humaniste. Le texte qui donne son titre à l'ensemble est un dialogue entre le directeur d'une entreprise se préparant à lancer sur le marché mondial un produit chimique nouveau fait d'«un peu de production sociale, un peu de purification ethnique, quelques gouttes de néocapitalisme, un zest de technocratie, de la revalorisation économique, un concentré de forces nationales diluées avec du paneuropéanisme» avec une dose d'antisémitisme «pour l'arôme», qu'il compte proposer au plus offrant. On y voit ainsi tous les travers de la politique vouée au populisme et à la réclame, thématique reprise dans «Propagande d'État» et «Technocratie ? Théocratie ?» «Bellit ou les livres magiques» raconte le succès mondial d'un livre qui se vend comme des petits pains et qui devient la Bible de toute la société, jusqu'à ce qu'un jour, des années plus tard, on se décide à en examiner réellement le contenu qui s'avère n'être qu'une formidable accumulation de poncifs, de phrases creuses et de propos incohérents. Enfin, avec le texte intitulé «Chaînons», Karinthy développe la théorie dite des six degrés de séparation, selon laquelle chaque personne sur Terre peut être reliée à n'importe quelle autre à travers une chaîne de relations individuelles comptant au plus six maillons. Comme toujours, il l'aborde sous l'angle de l'absurde, mais cette théorie des réseaux va passionner sociologues et mathématiciens, et constitue même le principe de base de... Facebook !
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Mon chien Pégase ; le chien ; les nôtres
Ivan Tourguéniev
- La Part Commune
- La Petite Part
- 2 Juin 2018
- 9782844183590
Confidence émue sur les liens de profonde affection qui unissent le chien aux talents éblouissants et son maître.
Trois nouvelles :
Mon chien Pégase, traduit par Mikaïl Achkinasi, La Vie littéraire, 27 octobre 1899.
Le Chien, traduit par P. Mérimée, Nouvelles moscovites, 1869.
Les Nôtres, épisode des journées de juin, traduit par Michel Delines, La Vie Littéraire, 10 janvier 1899.
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L'école des vieilles femmes
Jean Lorrain
- La Part Commune
- La Petite Part
- 9 Octobre 2018
- 9782844183699
Cinq nouvelles présentées par Franck Javourez et extraites de L'École des vieilles femmes, titre publié pour la première fois chez Ollendorff en janvier 1905.
La Côte d'Azur où Lorrain a séjourné sert de décor aux nouvelles de L'École des vieilles femmes de 1905.
Si le mot de « cougar » est récent, le phénomène est ancien : en témoignent ces nouvelles de Jean Lorrain qui nous montrent que les vieilles dames de la Belle Époque savaient déjà obtenir les faveurs de jeunes hommes en mal d'amour ou... d'argent !
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11 textes, 11 nouvelles, 11 tableaux d'une histoire qui se construit et forme roman.
On y côtoie la vie et la mort sur une île fictive en mer d'Iroise au début du XXème siècle où deux familles s'opposent. La nature, les éléments, les hommes et les femmes, la vie, la mort, l'omniprésence de la religion, les sentiments, les vieilles superstitions et les légendes s'entrecroisent et se mêlent implacablement. -
Dans une gentilhommière lugubre perdue au milieu des Vosges, par un soir d'orage, se retrouvent quatre chasseurs, une vieille servante, un intendant fébrile et un chien muet. Sur la porte du chalet, quand arrivent Allan, Mathis, Makoko et le narrateur, ils reconnaissent le signe légendaire de l'homme qui a vu le diable et a contracté un pacte avec lui pour ne jamais perdre au jeu. Allan qui ne prête aucun crédit à ces légendes décide de défier le propriétaire des lieux. Tout y est : l'armoire qui craque, la tempête déchaînée à l'extérieur qui bloque les infortunés comparses dans cet endroit isolé, perdu au milieu de nulle part.
Avec un sens remarquable de la mise en scène, Gaston Leroux entraîne le lecteur dans une histoire haletante, où le fantastique le partage à l'humour.
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Immersion au coeur de la Bretagne à laquelle nous convie Charles Le Goffic dans ces deux nouvelles, au gré d'une tension narrative n'épargnant ni la sauvagerie des comportements humains, ni celle des éléments déchaînés, où l'atroce côtoie le sublime, où la solitude et l'attente peuvent conduire à de profonds égarements marqués du sceau de l'angoisse.
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La boxe s'inscrit pour la première fois aux Jeux Olympiques de Londres en 1901.
Louis Hémon la connait pour l'avoir pratiquée. Mieux certainement que Lord Byron qui s'y prêtait parfois, moins intensément sans doute que Jack London et Arthur Cravan, ses contemporains, n'hésitant pas à mettre les gants pour de vrai. Suffisamment en tout cas pour raconter au plus près les corps-à-corps, les feintes et les esquives, les crochets et les uppercuts. Un quartier pauvre de l'East End, une salle enfumée, pauvrement éclairée, la foule vociférant et interpellant les combattants, c'est là le rendez-vous des membres du Cadger's Club. Ceux qui ont quelque don pour ce noble art y vendent leurs poings pour quelques shillings et survivre ainsi à la misère. D'autres rêvent de lumière et de gloire. Cette courte nouvelle de Louis Hémon annonce son roman, « Battling Malone, pugiliste ».
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De la fable boulevardière au drame sentimental, en passant par l'interrogation existentielle, ces six récits donnent à goûter une verve aussi riche que savoureuse.
Le Buste de Prévost est une satire politique sur la vanité des changements de régime : dans un village du sud-ouest des années 1890, la nouvelle municipalité décide de troquer (enfin !) le buste de Napoléon III contre celui de Marianne et, après bien des péripéties, ils finissent par grimer le buste de l'empereur pour en faire une Marianne...
Dévouement révise l'héritage marivaudien en rafraîchissant le portrait de la servante dégourdie, complice de sa maîtresse dans les affaires de coeur.
Dans Vingt-huit jours et Le choix d'un amant, Marcel Prévost déploie tous ses talents de conteur et montre comment il sait tirer parti du dispositif épistolaire comme du récit à ellipse, de l'art du sous-entendu et de celui du portrait, des ressorts du vaudeville même - talents multiples et agréables qui lui valent peut-être les épithètes « rococo » et « dix-huitième » décernées par son biographe Jules Bertaut.